Philippe de Lorraine ~ Le visage d'un ange ? Certes, mais un peu démon tout de même [Fini]
Jeu 17 Mai - 14:44
Philippe de Lorraine-Armagnac
Métier/Titre(s) : abbé de Saint-Pierre à Chartres, dit Chevalier de Lorraine, "Archimignon" de Monsieur Âge : 23 ans Origines : Françaises Langue(s) parlée(s) et niveau de maîtrise (uniquement dans le cas de personnage parlant d'autre langue que le français): Bon Italien et Latin Médiocre Orientation sexuelle : Bisexuel Situation: Célibataire Date de naissance : 20 Mars 1643 Religion: Catholique Groupe : Noblesse Personnage ayant existé?: Oui Avatar : Chrys Rayner
Le Miroir ...
Comment me décrire sans paraître vouloir me vanter ? Chaque fois que je tente de dresser un portrait de moi, l'on me dit que j'affabule. En ce cas, je vais me poster devant un miroir et nous allons regarder ensemble l'image qu'il nous renvoie. Tout à fait entre nous, nul n'est besoin de miroir, vous avez des yeux il me semble, non ? A moins que vous ne soyez atteint d'une quelconque cécité ? Si c'est le cas, je vous demande de bien vouloir m'excuser. Nous allons donc faire comme si vous ne pouviez que m'entendre. J'ai souvent entendu dire que j'étais bien fait de ma personne. Jugez-vous même, je suis grand, élancé. J'ai des cheveux longs et ondulés. Remarquez, qui n'en a pas ici ? Mais les miens sont naturels, j'ai horreur de porter des perruques, je trouve cela parfaitement ridicule et puis, cela ne va pas à tout le monde, croyez-moi. Ensuite, passons à mes yeux. Ils sont le reflet de l'âme il paraît. Je ne l'espère pas, parce que je n'aimerais pas qu'on lise en moi comme dans un livre ouvert. Bref, là n'est pas la question. Je ne trouve pas que mes yeux soient si extraordinaires que cela, ils sont marrons, j'eus préféré qu'ils soient bleus ou verts, mais c'est une des choses qu'on ne choisit pas malheureusement, comme la famille. J'aurais le temps de vous parler de la mienne un peu plus tard. Mon visage est fin et ma peau est pâle. Là encore, il n'y a rien d'exceptionnel à cela, le soleil est mauvais pour la peau, c'est bien connu, nous ne pouvons nous y exposer à loisir, je ne voudrais pas finir brûlé, ce serait dommage, vous ne pensez pas ? Ma bouche est un peu... comment dire ? Un peu trop charnue à mon goût, je n'ai jamais vraiment aimé mes lèvres, je ne sais pas l'effet que cela fait lorsque j'embrasse quelqu'un, mais... enfin ceci étant, si vous voulez le savoir, vous savez à qui il faut le demander... si vous l'osez. Mes mains sont fines, c'est peut-être la seule partie de moi que j'aime bien. Je n'ai pas vraiment ce qu'on appelle des "mains masculines", mais je fais avec. Autre chose, j'ai une marque de naissance que peu de personnes ont vu et pour cause, elle se situe à l'aîne. C'est une banale tâche de naissance, un peu disgracieuse, je suis d'ailleurs heureux qu'elle soit située à cet endroit, je ne sais comment j'aurais pu la dissimuler. Lorsque j'étais enfant, j'avais essayé de la dissimuler en appliquant dessus un peu de poudre de riz de ma mère. Cela ne donna pas l'effet escompté, vous imaginez bien.
A présent, intéressons-nous à ce que je porte. Je veille toujours à être bien habillé, non pas tiré à quatre épingles à chaque fois, mais lorsque l'on paraît à la Cour, il ne faut pas avoir l'air d'un gueux à peine sorti des bas-quartiers. Un pantalon arrivant à peine au-dessous des genoux, une ceinture de tissu, une chemise et une veste constituent l'essentiel de mes habits. Leur couleur varie selon la saison, les évènements. Je ne suis pas vêtu de la même manière à un enterrement ou à une fête, cela va sans dire. Je porte à mon doigt une bague qui ne me quittera jamais, elle n'a absolument aucune valeur sentimentale, au contraire, elle est là pour me rappeler qu'en aucun cas je ne dois faire confiance à l'amour, il est vil et cruel, il se moque de celui qui en est atteint. De cela aussi je vous parlerais un peu plus tard.
... n'est pas le reflet de l'âme
Vous parler de mon caractère n'est pas une chose que j'aime particulièrement faire, j'estime que l'on apprend beaucoup plus d'une personne en parlant régulièrement avec elle plutôt qu'en écoutant passivement n'importe quel portrait, qu'il soit flatteur ou pas, que l'on peut en faire. Mais là encore, je vais me plier à ce que vous souhaitez. Après une affaire sentimentale qui m'arriva, je vous la détaillerais un peu plus lorsque je vous raconterais l'histoire de ma vie, j'ai décidé de ne plus croire à l'amour, ni aux sentiments amoureux, je ne veux plus m'attacher à qui que ce soit, alors je passe de conquêtes en conquêtes, hommes, femmes... peu m'importe, tant que je réussis à le ou la séduire et le mener où je veux. Pour les gens je suis donc ce qu'on appelle un séducteur. Oui et cependant personne ne s'est jamais demandé pourquoi j'agissais ainsi. C'est bien la Cour, toujours prompte à critiquer et porter des jugements sans chercher à comprendre le pourquoi des choses. Toutefois, quelque chose me froisse un peu, récemment, la Reine-Mère est morte et Philippe, enfin je veux dire, Monsieur en connaît un immense chagrin et, je ne sais pas, mais le voir ainsi, perdu, abandonné, cela provoque en moi quelques troubles que je ne saurais expliquer ou que je ne souhaite pas reconnaître . Je ne le sais pas moi-même, c'est réellement désespérant, je dois avouer que je préfère de beaucoup lorsqu'il est heureux.
Il y a quelque chose que j'aime faire, c'est pointer du doigt les moindres travers de mes contemporains. Oh rassurez-vous, je ne suis pas aussi doué que Monsieur Molière pour cela, non, mais j'aime à lancer quelques paroles blessantes de temps à autre. Je ne suis pas stupide, si j'agis ainsi c'est que j'ai été provoqué au préalable, je préfère le poids des mots à la violence des poings même si je ne renonce jamais à me battre pour peu que cela soit nécessaire. Je me souviens qu'un jour, je me suis même battu à l'épée avec mon propre père. Je vous ai dit qu'on ne choisissait pas sa famille et j'ai même ajouté que je vous expliquerais pourquoi un peu plus tard, je ne vais donc pas m'attarder ici sur ce fait, mais c'était juste pour que vous compreniez que quelque soit l'identité de la personne qui me provoque, je n'hésite jamais à répondre, de quelque manière que ce soit.
On dit aussi de moi que je suis un débauché ? Vous croyez ? Bon peut-être un peu il est vrai, mais je vous en ai expliqué la raison tout à l'heure, je ne crois pas à l'amour donc je ne vais pas rester avec une seule et même personne pour le restant de ma vie. Ce serait d'un ennui mortel. Toutefois, je suis un peu particulier, parce qu'en opposition à ce trait de caractère, je suis jaloux, c'est plus fort que moi, je ne supporte pas de voir quelqu'un tourner autour de la personne que je convoite, sauf bien sûr si c'est moi qui ait mis ces deux personnes en contact. Oui, cela m'arrive parfois. Je n'ai jamais dit que j'étais quelqu'un de simple. Je suis ambitieux et je ferais tout, j'userais de chaque moyen à ma disposition pour parvenir à mes fins, quelque soit le but recherché. Il ne faut pas que ces mots tombent dans les oreilles de n'importe qui, ils pourraient être mal interprétés, parce qu'il y a une chose que je ne ferais jamais. Je ne tuerais jamais pour obtenir ce que je désire, je préfère l'obtenir par la ruse plutôt qu'en me salissant les mains.
Dernière édition par Philippe de Lorraine le Ven 18 Mai - 0:02, édité 5 fois
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Jeu 17 Mai - 14:44
On naît tous un jour ...
Le temps est venu pour moi de vous raconter l'histoire de ma vie. Commençons tout d'abord par la présentation, je me nommes Philippe de Lorraine-Armagnac, je suis le fils de Henri de Lorraine comte d'Harcourt, Grand écuyer de feu le roi Louis XIII, et Madame Marguerite Philippe du Cambout, j'ai un frère aîné, il s'appelle Louis. Comment cela ? Est-ce qu'un Philippe qui a un frère prénommé Louis vous rappelle quelque chose ? Sachez simplement que ce sont là deux prénoms fort courants. On peut dire aisément que je suis né dans une bonne famille. Toutefois, suis-je un enfant désiré ? C'est peu probable, mon père était trop occupé par ses fonctions auprès du Roi et ma mère n'aimait rien tant que de courir tous les Salons à la mode dans Paris, nous laissant mon frère et moi aux mains des domestiques. J'ose croire que mes parents ont eu des enfants simplement pour faire leur devoir conjugal. Bien qu'ayant très peu de contacts avec eux, je me devais d'obéir à mes parents, mais mon père me destinais à une carrière militaire, tout jeune je reçu une éducation dans cette optique. Ce n'était pas mon souhait alors, mais lorsque j'abordais le sujet avec lui, mon cher père me disait que j'étais trop jeune pour savoir ce qui était bon pour moi. Comme tout enfant de bonne famille, je n'avais qu'un seul désir, celui d'aller à la Cour. Je ne cessais de questionner mon père lorsqu'il revenait de temps en temps à la maison, il savait que je souhaitais plus que tout me rendre là-bas, mais il attendit que j'atteigne treize ans pour consentir enfin à m'y mener. Ce fut ce jour-là, le jour où j'arrivais à la Cour de France que je naissais véritablement au monde. Malgré mon jeune âge, il ne me fallut pas longtemps pour m'adapter aux us et coutumes en vigueur, j'ai également vite appris que si l'on voulait "survivre", il ne fallait pas se laisser écraser, mais aussi que connaître l'identité de la personne à laquelle on parle était important pour ne pas commettre d'impair.
Lorsque je vous parlais de mon physique, j'ai évoqué la bague que je porte, souvenir d'une histoire qui s'est mal terminée. Le moment est venu d'en parler. Cela s'est passé alors que je venais de savoir que mon père m'emmenait à la Cour. Le jour de mes treize ans, mes parents avaient organisé un petit repas où étaient conviés les quelques rares amis que j'avais, je ne sortais pas beaucoup de chez moi, donc ce n'était pas étonnant que je n'en ai pas beaucoup. A cette époque, je vivais une passion intense avec la fille d'un marchand du village, mes parents ne voyaient pas d'un très bon oeil cette relation, mais je ne m'en souciais guère, après tout, je les respectais parce qu'ils étaient mes parents, mais ne m'ayant pas élevé, j'estimais que ma vie privée ne les regardait en rien. Quoi qu'il en soit, je m'étais éclipsé de la fête pour aller retrouver mon aimée chez elle, je voulais lui en faire la surprise, mais ce fut moi qui eut cette surprise. Alors que je poussais discrètement la porte de la grange où je l'avais vu rentrer, je surpris une conversation entre elle et un autre garçon. Je ne pourrais plus vous dire la teneur exacte de ce qu'ils se disaient, je n'ai juste que quelques phrases en tête et, pour résumer, elle s'était moqué de moi, je l'aimais comme un fou, j'étais prêt à tout pour elle, mais elle ne voyait que ce que je pourrais lui apporter financièrement, en parallèle, elle entretenait une liaison avec ce garçon. J'étais dévasté, je regardais la bague qu'elle m'avait offert quelques jours auparavant et la faisait tourner autour de mon doigt, puis je suis parti sans me faire connaître d'eux et lorsque je suis arrivé à la maison, mon père m'annonça que nous partions la semaine suivante. Cela tombait à point nommé.
Ma vie à la Cour de France se déroulait comme dans un rêve, j'y étais si à l'aise, je me sentais dans mon élément, tant et si bien que l'on aurait pu croire que j'y étais né. J'ai vite réalisé que mon physique attirait les femmes comme les hommes, je pouvais également me servir de cet atout pour obtenir ce que je voulais et c'est ce que je fis. De temps en temps, j'aimais me lancer des défis, plus la personne que je séduisais me résistait, plus je la poursuivait de mes assauts. Le défi le plus grand que je me suis lancé, ce fut lorsque je décidais de séduire Monsieur, le frère du Roi. A l'époque où je suis arrivé, il ne voyait que par le neveu du Cardinal Mazarin, Philippe Mancini. Je ne savais pas au début si c'était simplement de l'amitié entre eux ou bien si Monsieur aimait les hommes. Je ne fus cependant pas long à être fixé et lorsque je fus certains de ses penchants, j'entrepris sa conquête. Oui, j'avançais prudemment au début, le frère du Roi est quelqu'un avec qui l'on ne peut commettre d'impair. Je constatais rapidement que le Prince me draguait également, bien sûr, pour l'attrait du jeu, je ne me laissais pas faire, je soufflais le chaud et le froid, mais il ne fallait pas que cela dure trop longtemps de peur que le jeune Prince ne se lasse, aussi nous échangeâmes rapidement notre premier baiser.
Plus le temps passait et plus mon emprise sur Philippe grandissait. Cet idiot de De Guiche a commis une grossière erreur, il a trompé Monsieur, avec Madame, il ne faut vraiment pas être intelligent, il était bien évidemment de mon devoir d'avertir le Prince de ce qui se tramait dans son dos. A plusieurs reprise, j'ai eu le bonheur de constater que le Prince me croyait, moi, au lieu de son épouse par exemple, évidemment, je joue de sa confiance, je lui fais faire ce que je veux. Bien sûr il nous arrive de nous fâcher et je dois souvent reconnaître certains tort, mais il faut savoir ce que l'on veut dans la vie. Dernièrement, la Reine-Mère est morte. Sa Majesté dissimule aisément sa douleur, il n'a jamais montré un seul sentiment d'ailleurs, mais le Prince, c'est autre chose, il est complètement dévasté par la perte de sa mère. C'est le moment idéal pour me rapprocher encore plus de lui. Ceci étant j'ai peur... oui peur de ressentir à nouveau de l'amour pour quelqu'un. Non, cela ne se peut... je ne peux pas être amoureux du frère du Roi... si ?
Dernière édition par Philippe de Lorraine le Jeu 17 Mai - 17:50, édité 3 fois
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Jeu 17 Mai - 14:44
Ôtez le masque !
Prénom (Pseudo) : Karine † Âge : 32 ans † Comment êtes-vous arrivé jusqu'ici ? Google est mon ami ^^ † comment trouvez-vous le forum ? Très joli, le design est très accueillant † Le code du règlement : OK by Monsieur † Un dernier mot ? Bonjour † test rp : (un minimum de 300 mots)
Spoiler:
Depuis le décès de la Reine Anne, le château semble plongé dans une sorte de catalepsie, même Monsieur qui, d'ordinaire, amène un peu de gaieté à l'atmosphère ambiant semble terne. Remarquez, on le serait à moins, je n'ai jamais connu le malheur de perdre un de mes proches, je ne peux donc qu'imaginer la douleur qui doit être la sienne. Pendant ces durs moments qu'il traverse, je suis près de lui, prompt à lui offrir une épaule réconfortante sur laquelle s'épancher, mais il m'arrive parfois d'avoir envie de m'éloigner un peu de cette ambiance lugubre et de sortir faire quelques pas sous le soleil, en ayant bien sûr soin de prendre un chapeau à bords large pour que mon visage ne soit pas agressé par les rayons de l'astre du jour. Au moment où je vous parle, je me dirige vers les grilles du château. Oh bien sûr, je ne suis pas à pieds, je suis dans une calèche, j'ai envie d'aller au village, je crois que le marché est rempli de monde à cette heure-ci, mais peu importe, il faut que je prenne l'air, que je m'éloigne d'ici pour une heure ou deux. J'ai prévenu Philippe bien sûr, je ne voudrais pas qu'il s'inquiète pour moi en plus. Sur la route qui mène au village, nous passons devant quelques fermes et un lavoir. La vision de cet endroit fait monter en moi des souvenirs d'enfance qui, à présent, me font sourire, mais je puis vous dire qu'à l'époque où je les ai vécus, je ne souriais pas du tout, j'étais même terrifié.
Cela s'est passé alors que je devais avoir six ou sept ans, mes parents étaient absents de la maison, mon père était parti depuis une semaine déjà, je ne sais plus vraiment où, mais peu importe. Ma mère était allé passer quelques heures chez une de ses amies, mon frère et moi étions sous la surveillance d'Hortense, notre domestique, cette femme était ce qui s'apparentait le plus à une mère pour moi, c'était elle qui était présente lorsque je tombais ou que je me faisais mal d'une quelconque manière, elle me consolait de mes mauvais rêves lorsque j'en faisais, en bref, je l'adorais. Je fus peiné le jour où elle partit de la maison parce qu'elle n'avait plus assez de force pour s'occuper de nous, il faut dire qu'elle n'était plus toute jeune. Hortense donc, elle lavait notre linge au lavoir régulièrement, ce jour-là, elle décida de nous emmener avec elle. Au début Louis et moi nous amusions avec les autres dames, mais elles étaient occupées et bien vite nous devions les laisser travailler, nous nous amusions donc tous les deux aussi silencieusement que possible. Mon frère était toujours prompt à me provoquer, il était mon aîné, donc il était plus fort que moi dans beaucoup de domaines, au jour d'aujourd'hui, il l'est encore, mais à cette époque, je me faisais un devoir de répondre à ses provocations. Aussi lorsqu'il me dit que jamais je n'oserais m'approcher du rebord du bac à laver, je décidais de relever le défi. Je ne sais pas si vous vous représenté ce que c'est qu'un lavoir, c'est un immense bac où toutes les femmes se réunnissent pour laver leurs vêtements et échanger les derniers ragots. L'eau n'est pas profonde, mais il y a beaucoup de mousse et lorsqu'à six ans, vous vous penchez un peu trop au-dessus du bac, pour montrer à votre frère que vous êtes grand, vous vous retrouvez indubitablement la tête la première dans l'eau. C'est évidemment ce qu'il m'arriva. Je crus bien que ma dernière heure était arrivée. Heureusement, Hortense intervint et me sorti de l'eau rapidement, si j'avais conservé mon calme, je me serais redressé, sans me débattre comme un beau diable, mais j'eus tellement peur que je ne pouvais que bouger dans tous les sens. Depuis ce jour, je n'approche des points d'eau que très prudemment.
Nous voilà arrivés au Village. Maintenant que je suis là, je n'ai plus réellement envie de m'y promener, je pense que je vais rentrer au château. Oui, je sais, je suis quelqu'un de très difficile à suivre.
Dernière édition par Philippe de Lorraine le Ven 18 Mai - 0:03, édité 2 fois
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Jeu 17 Mai - 14:57
Bienvenu sur le fofo Mr de Lorraine :3
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Jeu 17 Mai - 14:59
Merci beaucoup
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Jeu 17 Mai - 15:31
Bienvenue à la Cour, Monsieur de Lorraine. Monsieur va être content de vous voir ici ^^. Bon courage pour la suite ! ^^
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Jeu 17 Mai - 15:34
Merci à vous Monsieur de Ragny C'est mon souhait le plus cher, mais n'allez surtout pas le lui dire ^^
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Jeu 17 Mai - 20:59
Bienvenue à la Cour Monsieur de Lorraine, en espérant vous recroiser très bientôt en ces lieux ! ^^
Gabrielle de Thianges
~•Ventis •Immota•Superbit•~
Titre/Métier : Marquise de Thianges, comtesse de Chalancey Billets envoyés : 404 Situation : Mariée, mère de trois filles et d'un petit garçon...
Jeu 17 Mai - 21:02
Merci Madame de Thianges, je l'espère également
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Jeu 17 Mai - 23:16
Philiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiippe!!!!!!!
Bienvenuuuuuue
Enfin Monsieur retrouve son amant je me lassais de vous très cher!
Pour le test Rp, si tu as une idée ne te gêne pas, sinon je peux te proposer quelques sujets qui pourraient t'inspirer
(ah c'est marrant que tes images soient déformées comme ça, si tu as aussi besoin d'un coup de main pour ça... N'hésite pas )
Huhu je suis ravi de te voir ici en tout cas :3
Dernière édition par Monsieur le Jeu 17 Mai - 23:21, édité 1 fois
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
En fait, pour le test RP j'aimerais bien que tu me proposes une de tes idées
Et pour l'avatar ce serait méga super génial si tu pouvais m'en trouver/faire (barrez la mention inutile ) parce que comme tu peux le constater avec la tête de mon pauvre Philippe, je suis une véritable quiche royale en créas
Merci
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Jeu 17 Mai - 23:24
Je vais voir ce que je peux faire :3 (même si à ta place je harcèlerai davantage Gaby chérie )
Pour les sujets de Rp je t’envoie ça par MP
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Jeu 17 Mai - 23:26
Double merci
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Ven 18 Mai - 0:35
TU ES VALIDÉ(E)
Mon cher, mon doux, mon tendre Philippe
Je crois que je n'ai rien à redire, la manière dont tu t'es présenté me charme et me montre bien que mon amour pour toi est amplement mérité J'attends avec impatience de pouvoir forniquer bavarder avec toi, tes conversations m'ont tant manqué.
En bref, si tu ne l'as pas compris: t'es validé mon namur