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 Charmante rencontre [PV : Stefano Sforza] (-18 ans)

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Charmante rencontre [PV : Stefano Sforza] (-18 ans) - Page 2 EmptyVen 13 Sep - 0:45

J’aimais me sentir désirer, et il faut dire que là j’étais comblé. Je sentais le regard de mon amant dévorer mon corps autant nu que le jour de ma naissance. La pudeur était quelque chose qui ne m’effrayait pas, d’une partie parce que je m’entretenais et étais fier de mon physique. Pour danser avec et pour le frère du Roy, il fallait être à la fois musclé et souple car il souhaitait plus que la simple beauté ou le simple talent, il voulait les deux en même temps, et quand je dis vouloir, c’était plutôt ordonner. Deuxièmement parce que mes activités m’obligeaient à être, d’une certaine sorte, libéré de la honte. Si on ne s’assume pas, il est très difficile, voir quasiment impossible de faire des représentations en pleins publics dans ses pleines capacités, sans être rongé par une tête qui pense trop.

- Certes, vous avez raison. De plus, cela permet de mieux apprécier la récompense lorsque l'on réussit à l'obtenir.

Alors que je continuais à le harceler de mon regard, je laissais alors une main descendre le long de mon torse pour accompagner son regard jusqu’à mon intimité avec laquelle je commençais à jouer pour le provoquer, tout en laissant s’échapper un ou deux petits gémissements entre deux souffles.

- Je suis sûr que vous saurez l’apprécier à sa… mhhh… juste valeur…

Murmurais-je pendant que ma main continuait son entreprise. Il y a de ses nuits où l’on est obligé de s’occuper de soi seul, si vous voyez ce que je veux dire, mais elles ne m’intéressaient pas. Je ne vous mentirais pas, il m’arrive toujours à m’adonner à un petit plaisir solitaire, mais dès que j’ai l’occasion j’évite, ne ditons-pas que cela rend sourd ? Et je ne veux pas perdre l’usage de mes oreilles. Oh grand Dieu non ! Sans quoi je ne pourrais plus danser !

- Je serais seul juge de cela mon cher

-Vous m’en direz des nouvelles mon bel Apollon…

Lorsqu’il vint sur moi, j’entrepris de le provoquer encore plus, et à voir cela marchait car je sentais son entre-jambe grandir et durcir contre la mienne, ce qui ne fit qu’augmente mon plaisir. L’avoir tout contre moi, peau contre peau me fit frémir, enfin je pouvais sentir toute les parcelles de son corps sur moi.

- Certes la vie est un jeu, mais parfois il est bon de le calmer un peu.

Son petit cri me fit sourire mais je continuais quand même à caresser cette partie de son anatomie bien galbée. A vrai dire, c’est la seule partie du corps de l’homme qui est susceptible d’avoir des formes, c’est pourquoi je l’aimais tant. Une belle pair de fesses était signe d’un bon entretien et les siennes étaient très appétissantes, je me réjouis du jour où nous allions inverser les rôles et où je pourrais enfin observer ses deux monts. Après sa remarque, il entreprit de me lécher le cou avec sa langue habille, ce qui me fit frémir mais le bougre ne s’arrêta pas là et descendit sur mon torse jusqu’à aller mordiller mes deux pointes. Là je ne peux retenir un petit cri de plaisir sous le plaisir que cela me donnait. Mes tétons étaient très sensibles, un simple toucher pouvait réveiller en moins un désir impressionnant. Je me souvenais d’ailleurs d’un entrainement de danse où ma partenaire les avait malencontreusement trop frôler les extrémités de mes pectoraux ce qui avait réveillé la bête d’en bas, si vous voyez ce que je veux dire… Ce fut d’ailleurs la seule femme qui réussi cette exploit à mon insu.

- Ce n’est pas comme ça que vous aller le calmer mon tendre

À vrai dire, il faisait tout le contraire, même si j’avoue que je ne faisais tout pour les provoquer lui et son désir. Le regard qu’il me lança était magnifique et faillit me liquéfié, mais je n’oserais pas le quitter maintenant, après avoir allumer sa soif de chair. Il prit tendrement mon intimité en main et commença à jouer avec, ce qui me tira un long gémissement. Tout mon bassin était rempli de papillon, c’était comme si chaque mouvement de son poignet libérait en moi une dose de plaisir que je ne pouvais contenir et qui se libérait de la sorte.

- Oh mais rassurez-vous mon coeur, vous ferez beaucoup plus que "voir".

- Je le souhaite mio… Oh… mhh. Aaa..angelo, je peux déjà le sentir…

Je le sentis remonter le long de mon torse et de mon cou pour qu’il arrive à mon oreille qu’il mordilla. S’il continuait de la sorte, tout allait rapidement finir pour moi. Me concentrer sur une chose pour la contenir n’était pas le soucis, mais là mon amant utilisait toutes les parties de mon corps sensibles au plaisir. À son jeu de lèvres, je ne pus contenir un autre gémissement, plus fort alors que sa main s’activait toujours sur mon sexe tendu.

- Je vous désire Stefano. Je veux vous faire l'amour si fort que même lorsque nous serons rentrés au château, vous me sentirez encore en vous.

Ni une, ni deux, il m’embrassa comme jamais, prenant possession de mes lèvres et de ma bouche, qui s’ouvrit à lui sans aucune résistance. Le baiser fut à la fois tendre et à la fois sauvage, nos langues jouèrent ensemble, créant une chorégraphie presque parfaite.

- Ohhh Antoine, voila de… belles promesses.

Répondis-je après la fin de notre baiser ardent. Je plantais à mon tour mon regard dans ses yeux, un regard certes amoureux, mais provocateur à souhait, rempli d’envie et de désir.

- J’ai envie de vous Antoine, comme jamais. Mon intérieur brûle rien qu’à l’idée de vous recevoir. Prenez-moi comme jamais vous n’avez pris quelqu’un. Faites-moi l’amour comme si c’était la dernière fois.

Laissant descendre ma main, je pris à mon tour son entre-jambe excitée dans la main et commença à lui donner du plaisir en faisant des va-et-vients irréguliers, tantôt rapides tantôt lents. Je n’hésitais pas à promener le plat de mon puce sur son extrémité humide ou encore à titiller les deux sœurs jumelles. Après quelques minutes, je pris son sexe et le guida vers la raille de mes fesses avec laquelle j’entourais son intimité, le laissant coulisser entre mes deux muscles fessiers. Le sentir frôler mon entrée de la sorte m’arrachais un cri à chaque passage et lorsque je sentis qu’il était près, je m’ouvris à lui.

-Entrez-en moi mon cœur, je vous veux en moi, vous sentir me remplir de toute votre longueur sans pitié.

Le suppliais-je avec un air quémandeur.
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