Tiago Valdemar ~ "La fortune est une courtisane : favorable hier, elle peut trahir demain."
Jeu 21 Aoû - 18:02
Tiago Valdemar
Métier/Titre(s) : Mousquetaire du Roi Âge : 27 ans Origines : Français & espagnol Langue(s) parlée(s) et niveau de maîtrise : Bon espagnol Orientation sexuelle : Hétéro Situation:Célibataire Date de naissance : 5 septembre Religion: Catholique Groupe : Soldat Personnage ayant existé?: Non Avatar : Santiago Cabrera
Le Miroir ...
J’avance, confiant, avec l’air nonchalant de celui qui n’a rien à se reprocher. Quand ma silhouette entière apparait dans le miroir, je constate, une fois de plus, que je ne suis pas un grand homme. De taille. Dans la petite moyenne, j’ai longtemps essayé de compenser ces centimètres absents par des manières peu discrètes, une touche désinvolte qui m’a valu quelques ennuis. Revenons à mon physique, je vous prie. Mes cheveux, mi longs, couleur ébène, trahissent mes origines. Une moustache que je prends soin de raser régulièrement pour me donner un air propre. Soigné. Pour autant, les traces de chaleur, de fatigue et de combat figurent bien souvent sur mon visage qui devient nettement plus pâle lorsque la pluie décide de tomber. De carrure toute aussi moyenne que ma taille, je suis relativement athlétique. Mes muscles se sont progressivement développés, depuis l’enfance, grâce aux travaux qui incombent aux gens du peuple, et l’entrainement rigoureux que j’ai suivi – et suis toujours avec assiduité – pour être un bretteur d’exception a toujours structuré ma personne. Les heures de combat, les journées de cavalcades et d’immersion dans la trépidante vie de mousquetaire se devinent sans aucun mal. En effet, mes bottes d’une qualité dont je n’ai pas à rougir sont constamment poussiéreuses, ou boueuses. Je m’efforce de maintenir mon manteau dans un état correct mais je ne peux le protéger d’un quotidien agité. Quelques entailles décorent ainsi mes vêtements, mais je suis soigneux. Je n’ai de toute façon pas de quoi me revêtir pour l’heure. L’œil vif, provocateur selon certain, j’ai l’air sans arrêt à l’affut, plein de défis. Pourtant, si je suis assez perspicace et impulsif, je ne suis pas le genre à chercher les ennuis. Je me contente d’obéir aux ordres, autrement, je me mêle rarement de ce qui ne me regarde pas ! Une attitude négligée, souvent débraillé, j’inspire aussi l’étourderie et l'imprudence. Ce mélange de ressentis quand on me voit pour la première fois fait généralement de moi un personnage arrogant qui a oublié quelle était sa petite place. Ça attire des ennuis, vous vous en doutez.
... n'est pas le reflet de l'âme
♣ Je suis un homme loyal, dévoué. Un ami fidèle. Les ordres sont les ordres. Ils sont ma ligne de conduite, je n’ai pas d’hésitation, peu de remords car j’obéis. La cause des mousquetaires est mienne, je l’ai embrassée dès que je suis arrivé et personne ne saurait m’en détourner. J’apprécie ce que nous représentons, la justice, la sécurité, des valeurs nobles à défendre. Les rares fois ou mon allégeance est chahutée, c’est que l’un des nôtres a été bafoué. J’aime penser que les pires ordres ont une explication, une raison suffisante pour les exécuter sans discuter, mais on ne me fera pas causer du tort à un autre mousquetaire sans m’avoir persuadé.
♣ Je suis ce que l’on appelle un bon vivant. Mes camarades vous le diront très certainement. Je suis chaleureux avec les nouveaux venus et je fais toujours partie de ceux qui calment les ardeurs. Je déteste voir les soldats se battre entre eux, même s’insulter. Nous sommes une équipe, nous nous devons respect et solidarité. Gourmand, je savoure mes repas, surtout quand ils se comptent sur les doigts d’une seule main pour la durée d’une semaine ! Enfin, mon avidité se manifeste aussi en présence de la gente féminine. Je suis un incorrigible séducteur, incapable de me tenir tranquillement lorsqu’un joli minois apparait. Comptant un certain nombre d’amantes, j’ignore délibérément les mises en garde concernant la sournoiserie des femmes et me jettent éperdument dans leurs draps.
♣ Impulsif, bagarreur, et heureusement très bon épéiste. Être bavard n’est, selon moi pas un défaut, et avoir un humour pointu est bien une qualité ! Malheureusement, ces caractéristiques mêlées me mènent souvent à de dangereux duels, ou quelques malentendus embarrassants. Plus d’une fois, les membres supérieurs de ma hiérarchie m’ont réprimandé. Je dois reconnaitre prendre un malin plaisir à amuser la galerie, surtout quand je peux discréditer un personnage insultant, trop hautain. La réplique facile, une répartie qui ferait de moi un manipulateur fantastique si j’étais noble, je froisse les fiertés et brise les sangs froids. Pour autant, j’essaye de me contrôler. Être fine lame ne donne pas l’autorisation d’enchainer les affrontements, je l’apprends à mes dépends.
Dernière édition par Tiago Valdemar le Ven 22 Aoû - 23:22, édité 1 fois
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Jeu 21 Aoû - 18:03
On naît tous un jour ...
Venu en France dans l'espoir de revaloriser sa noblesse, mon père n’est jamais reparti. Sans attaches particulières en Espagne, il était content de repartir à zéro, de pouvoir travailler durement sans craindre qu'on se moque de son rang et, plus tard, briller de nouveau. Son chemin s'est arrêté à quelques heures à cheval de la frontière. Ravalant sa fierté et son orgueil, le jeune homme est allé proposer ses services et ses bras vigoureux aux fermes de plusieurs villages. La saison des récoltes avait bien commencé, les agriculteurs s'étaient déjà entourés de bons gaillards. Cependant la chance lui souri ailleurs que chez les fermiers. Un vieux noble, seul avec sa fille, avait inexorablement besoin d'aide pour son commerce de tissus. Valdemar a su trouver les arguments pour séduire le vieil homme. Le but était de se faire un minimum d'argent pour avoir les moyens d'atteindre Paris. Dans un premier temps... Mais les femmes causeront notre perte. Vous y croyez, vous, si je vous dis qu’il est tombé amoureux de la fille du noble déchu ? En un seul regard ? J’aime penser que ça s’est passé si facilement. De toute façon, les femmes sont dangereuses.
Le noble ne possédait guère plus que mon père. Le commerce fonctionnait surtout grâce à ma mère. Deux ans après s'être rencontrés, mes parents se sont retrouvés à la tête de la modeste affaire. Ils se sont mariés et se sont promis de redorer leurs blasons respectifs. Installés, amoureux et déterminés : ils allaient y parvenir. De leur amour est née une fille, Adelma, qui est décédée à cinq moins à peine. Emportée par un virus. C’est deux ans après que j’arrive au monde.
L’affaire commerciale de ma mère a perdu une partie de sa clientèle quand mon grand-père est décédé. Il faut dire que peu de professionnels étaient prêts à travailler avec une femme et un espagnol, il a fallut qu’ils s’imposent, progressivement, intelligemment. Gagner la confiance des clients avant toute chose. Un fonctionnement irréprochable, la qualité des produits, la rapidité des opérations de la récolte aux échanges sans oublier les transferts.
Tandis que ma mère se faisait une place parmi les commerçants français, c’est mon père, qui s’occupait de mon éducation. Étant noble espagnol – ayant donc bénéficier d'un minimum d'instruction – il pu m’apprendre quelques notions d’écriture et de lecture. C'était primordial pour lui d'apprendre à sa descendance la lecture et l'écriture. L’apprentissage de la langue s’est fait naturellement. Être bilingue était à l’époque ma seule originalité. Ce n’était un point fort que pour aider mes parents à traiter avec les espagnols voisins.
A l’aube de mes douze ans, l'affaire ayant suffisamment grandie, nous sommes parti nous installer près de Paris.
Ma mère aurait préféré que je m'investisse dans le commerce, mais mon père m'a poussé à devenir un homme d'armes. Ainsi, ils furent très fiers de me payer mes premiers cours d’escrime. Neuf, en tout. Un ancien soldat qui dispensait quelques séances, illégalement, m'a fait découvrir l'art du combat. C'était un honneur selon eux, une façon d'imposer le respect et un moyen rapide d'accéder à l'estime que nous méritions. Une condition néanmoins : être excellent. Puisque leur commerce s’est bien développé au niveau de la capitale et ses alentours, ils ont également pu permettre à ma petite sœur, Alice, de quatre ans ma cadette, de prendre quelques cours de lettre. Peu, mais suffisamment pour qu’elle développe les connaissances que mon père lui avait apporté.
Dès l'âge nécessaire et dès qu'il me fut possible d'acheter une partie de l'équipement, je me suis porté soldat volontaire. Le but était simple : s'améliorer, pratiquer. Fréquenter des hommes d'armes était une passion, ils étaient mes modèles. Je les imitais et suivais leurs conseilles à la lettre. Pourtant, je ne pouvais pas laisser mes parents s’occuper seul de la boutique – malgré les deux hommes qu’ils avaient engagés – j’ai donc repoussé ma carrière de soldat jusqu’à mes dix-sept ans. Ma petite réputation de bon escrimeur grandissante, j'ai commencé à faire payer mes services. D'abord aux particuliers, la plupart du temps des bourgeois désirant protection, j'ai fini par apporter mon aide à des miliciens. Il m'aura fallut encore trois ans d'effort et d'entêtement pour me présenter aux Mousquetaires.
Ces années aux côtés des soldats m'ont aidé à devenir un bon duelliste, mais l'art de l’escrime était encore plein de mystère lorsque j'ai rejoint les Mousquetaires. Les entrainements qu'ils m'ont fournis furent bénéfiques. J'ai beaucoup progressé et gagné la confiance de mes compères. Il ne se passe pas une journée sans que je dégaine ma lame, au moins pour me perfectionner, pour répéter les gestes, échauffer les mouvements, dans la perspective de faire partie des meilleurs. Pour mes parents, pour notre rang, mais aussi par vanité.
Passionné par mon métier, je lui suis dévoué. Je n’envisage pas d’autre vie. Je suis mousquetaire.
Dernière édition par Tiago Valdemar le Ven 22 Aoû - 22:07, édité 4 fois
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Invité
Jeu 21 Aoû - 18:03
Ôtez le masque !
Prénom (Pseudo) : Chou’ Âge : 23 ans Comment êtes-vous arrivé jusqu'ici ? Grâce à un top site. Très dur de trouver un rpg historique ! comment trouvez-vous le forum ? Sobre, classe. Le code du règlement : Fais-tu partie du complot ? Une citation/ phrase à mettre sous le vava (qu'on mette avec l'image de votre groupe )Accroche-CœursUn dernier mot ? C’est la première fois que je m’inscris sur un forum historique, j’espère être à la hauteur.
test rp, un minimum de 300 mots est demandé:
Autre époque, autre contexte :
Le papier est jauni, les angles sont déchirés, mangés par le temps. Ces photos ont tout de pathétique. Même les visages entrain de poser n’inspirent que désolation. La jeune femme qui se tient à droite, nonchalamment appuyée sur un meuble, semble vouloir cacher – en vain – la douleur qui l’habite. Ce mal être qui la consume jour après jour. Rien de cette vie ne lui convient, et ça se devine. L’homme, planté debout de l’autre côté, a bien tenté un effort de sympathie au moment de la prise. En effet son bras tendu est venu chercher l’épaule de son épouse. Ça parait forcé, contrariant. Quand le flash a eu lieu, il a du se retirer en pestant. Les souvenirs reviennent doucement. Mon oncle voulait essayer son nouvel appareil photo et, dans sa bonté, a pensé pouvoir nous détendre tous les trois. Amener un peu de chaleur et de familial dans ce foyer si terne. Je ferme les paupières et me souviens du moment précis qui a suivi le bruit particulier de la photo à l’époque.
La large main de mon père a en effet quitté l’épaule de ma mère. Rapidement. Comme s’il craignait d’être infecté. Pourtant ils ont été amoureux et à l’époque, je me forçais à croire qu’un amour ne peut pas mourir. Que malgré les tensions et les épreuves de la vie, l’amour qui les unissait surmonterait tout. Cette main forte et rugueuse, usée par les travaux mécaniques, est venue s’abattre sans la moindre douceur contre mon crâne. J’ai titubé de quelques pas. J’étais un garçon maigre, élancé, craintif. Poussé par l’élan, mon genou est venu rencontrer la table basse sur laquelle était disposé le matériel de mon oncle. Quelques objets se sont éparpillés sur le sol ; Rien de grave, en somme. Mais mon père a profité de cette bavure pour laisser exploser, une fois encore, son incurable malaise. L’oncle n’aurait pas du tenter de nous rapprocher, de nous faire ressembler à ce que nous ne sommes pas : une famille. Il a fait promettre à mes parents de ne pas lever la main sur moi ce soir, car tout était de sa faute. Ils ont promis, distraits et blasés. Puis les coups sont tombés. Encore.
… Je ramène l’index contre mon menton. Viens effleurer doucement la cicatrice, puis remonte jusqu’à l’arcade pour là aussi laisser ma phalange glisser dans une marque. Je pourrai laisser ma main rejoindre le haut de mon crâne pour trouver une troisième blessure refermée. Mais je m’arrête là. Pensif. … Puis je referme le petit coffre dans lequel trainent de pénibles souvenirs. Comme un masochiste, je conserve ces douleurs. Incapable de m’en débarrasser. Il faudrait pour ça que je sois capable de tourner la page sur mon passé, définitivement. Ça n’arrivera que lorsque je serai en mesure d'envisager un avenir.
Quelques minutes plus tard, je déambule dans l’allée principale du quartier, à la recherche de quoi me distraire. Simplement occuper mes pensées, pour oublier ce réveil cafardeux. J’attrape un journal mis à disposition, entame de le feuilleter puis me laisse séduire par la terrasse accueillante d’un café.
Naïf, innocent, irréprochable je crois, je ne soupçonne pas un instant qu’on m’a suivi. Que j’intéresse, que je représente un levier de pression conséquent. Tranquillement je sirote un thé, et dévore juste des yeux le croissant que l’on me sert.
Dernière édition par Tiago Valdemar le Ven 22 Aoû - 15:39, édité 3 fois
Invité
Invité
Jeu 21 Aoû - 18:09
Santiago Cabrera
Et un mousquetaire comme il se doit j'ai hâte de voir ce que tu vas nous offrir avec ce personnage, le début est déjà prometteur
En tout cas bienvenue parmi nous, n'hésite pas à poser tes questions si jamais tu en as !
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Jeu 21 Aoû - 18:20
Merci :copain:
Je vais peaufiner tout ça mais je n'ai jamais joué sur un forum historique, il est possible que certains détails de ma fiche soient incohérents
Invité
Invité
Jeu 21 Aoû - 18:32
Pas de problème je serais là pour te fouetter en cas d'erreur
Vex est ton petit premier alors on va te dépuceler c'est beau :gnahah:
Blague à part, ne t'inquiète pas pour les incohérences on t'aidera à faire face tu as déjà quelques post sur l'époque dans la partie histoire pour t'aider et en particulier un post sur les soldats qui bien sûr comporte un paragraphe sur les mousquetaires et si tu crains de faire un mauvais pas tu as dans ce post un petit guide pour t'empêcher de faire des erreurs même quand tu n'as pas l'habitude des forums historiques ^3^ J'espère que ça va t'aider mais tu as déjà l'air de très bien te débrouiller tout seul
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Jeu 21 Aoû - 19:10
Un nouveau mousquetaire !
Cool !
Bienvenue et bonne chance pour la fin de ta fiche ! Comme monsieur l'a dit le début est très prometteur !
Deus
Compte Fonda
“Le règne la puissance et la gloire”
Billets envoyés : 1390
Ven 22 Aoû - 8:46
*retient un filet de bave*
Bienvenue ! C'est super cool que tu choisisses Vex comme premier fo' historique (plus qu'à te corrompre pour que tu deviennes accro 8D )
Madeleine Béjart
Comédienne aux 1001 masques.
Titre/Métier : Comédienne Billets envoyés : 1036 Situation : Officiellement célibataire, officieusement passe un peu trop de temps chez Gabriel de La Reynie Crédits : AvengedInChain / P!A
Ven 22 Aoû - 10:23
Merci beaucoup toutes les deux
S'incline respectueusement et prononce ces paroles avec une élocution appliquée :
"Au temple de l'amour règne Aphrodite sur son trône d'étoiles"
J'ai utilisé les sujets - très pratiques - qui permettent de construire correctement son personnage mais j'avoue que je ne vois pas comment mieux corriger ma présentation. J'imagine qu'au niveau de l'intégration des Mousquetaires ça va poser problème, merci de m'orienter un peu ou, si ce n'est vraiment pas envisageable, de me proposer un autre corps militaire auquel Tiago peut accéder ?
Merci d'avance
Invité
Invité
Ven 22 Aoû - 11:57
Oui je crois que tu as vu le soucis de l'origine roturière ! Je vais y réfléchir un peu et tenter de trouver une solution ce soir
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Ven 22 Aoû - 12:02
Merci, c'est sympa Il faudrait sinon que Tiago soit un noble, mais je ne savais pas comment faire par rapport à ses origines etc...
Invité
Invité
Ven 22 Aoû - 14:14
Encore la bienvenue à toi ! Ta fiche est géniale. Alors comme ça premier forum Historique ? Mmmhhh, en choisissant Vex' tu as peu, sinon aucune chance de t'enfuir. Il est trop tard. Tu es piégé ! MuahAHAHAHAH.
*sort, avant de réellement faire fuir les gens*
Sinon pour ce petit problème d'origine... Le pôpa de Tiago pourrait provenir d'une famille noble désargentée, et n'ayant jamais vraiment vécu en tant que noble, il s'apparentait plus à un simple membre du peuple. Il pourrait en avoir soufflé mot à sa famille (épouse et fils) que bien plus tard au cours d'une conversation banale (en y accordant peu d'importance)... Nan ? (pas certaine que ça règle quoi que ce soit ou même que ça fasse du sens, mais je propose juste)
*re-sort*
Gabrielle de Thianges
~•Ventis •Immota•Superbit•~
Titre/Métier : Marquise de Thianges, comtesse de Chalancey Billets envoyés : 404 Situation : Mariée, mère de trois filles et d'un petit garçon...
Ven 22 Aoû - 14:24
Merci
Ta proposition ressemble à ce que j'ai en tête, si c'est suffisant pour permettre à Tiago d'entrer chez les Mousquetaires, ce serait chouette Merci de m'aider en tout cas, on trouvera bien une solution ! Puisqu'apparemment, je suis tombé dans un guet-apens en m'inscrivant ici
Invité
Invité
Ven 22 Aoû - 21:24
La proposition de Gabrielle est tout à fait cohérente ^^ et c'est d'ailleurs celle que j'avais en tête. Tu peux faire en sorte que tes deux parents soient de la noblesse désargentée (parce que je ne suis pas sûre qu'on accepte un demi quartier de noblesse aux mousquetaires je devrais vérifier mais dans le doute je pense que ça vaut mieux ^^). Sans argent ils auraient été obligés de travailler la terre pour survivre, c'est la déchéance totale mais ça arrivait. Ce qui fait que Tiago n'aurait pas vraiment eu d'éducation certes mais il aurait pu être élevé dans l'espoir de retrouver l'honneur de la famille ce qui expliquerait son départ pour l'armée et sa totale implication dans le corps des mousquetaires Si ça ne te conviens pas je peux tenter de trouver un autre solution, mais je crois que celle là est la plus simple et te permet de ne pas trop changer ton histoire.
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Ven 22 Aoû - 22:09
Ah merci beaucoup ! J'ai édité, en espérant que cela vous convient
Tiago a écrit:
S'incline respectueusement et prononce ces paroles avec une élocution appliquée :
"Au temple de l'amour règne Aphrodite sur son trône d'étoiles"
Invité
Invité
Sam 23 Aoû - 21:38
TU ES VALIDE(E)
Tadadadaaaaaaaa ! Te voilà validé !
J'espère que Vex te plaira pour un premier forum historique !