Métier/Titre(s) : Valet d'Auguste de Villiers Âge : 40 Origines : françaises Langue(s) parlée(s) et niveau de maîtrise : petit latin ( tellement petit qu'il invente la plupart du temps) Orientation sexuelle : hétérosexuelle Situation: Célibataire ( comment voulez-vous avec un tel maître ?) Date de naissance : 28 janvier 1626 Religion:catholique Groupe : Domestique Personnage ayant existé?: non Avatar : Martin Freeman
Le Miroir ...
De taille plutôt moyenne (voir même petite) et d'allure plutôt trapue, Vincent Mondor n'est pas une personne que l'on remarque tout de suite dans la foule. Pourtant lorsqu'il piétine pour rattraper son maître qui lui est doté de grandes jambes, lorsqu'il vous bouscule ou vous écrase les pieds dans sa précipitation - surtout sans s'excuser, vous comprenez, son maître ne peut l'attendre - , lorsqu'il beugle « Attendez moi, Monsieur ! Monsieur ! » de sa voix nasillarde et essoufflée, vous finissez bien par déposer votre regard, aussi noir soit-il, sur lui.
De courts cheveux châtain blond ternes ébouriffés par la course , des yeux vert marronnasse vifs et affolés, un nez en pied de marmite et des lèvres minces souvent retroussées découvrant des dents mal alignées, forment un visage très expressif certes mais loin d'être harmonieux. Un cou épais, de petites mains rugueuses s'agitant dans tout les sens, les jambes courtes … Vincent Mondor est semble avoir récupéré tout les petits désavantages physiques banals qui puissent exister. La seule chose dont il soit fier est la longue cicatrice qu'il possède à la base de son cou. Il se plaît à raconter souvent que c'est le souvenir d'une bagarre eue avec de terribles brigands ( pourtant des bruits courent que ce serai dû à un redoutable soufflet que son maître lui aurait donné …)
Résumons donc, il n'est donc pas ce qu'on appelle un bel homme, voire l'opposé total de son maître, Auguste de Villiers. Pour vous donner une idée, imaginez un petit coq de basse-cour aux côtés d'un paon. Mais après tout, ce qu'on ne demande pas à son valet d'être beau et charmant, mais d'être présentable, de servir correctement et surtout d'obéir !
... n'est pas le reflet de l'âme
Mais Vincent, en temps que valet, donne un petit supplément : la discussion … Et quelle discussion ! Moulin à paroles véritable, il adore parler, parfois pour ne rien dire. Surtout pour ne rien dire, diraient les mauvaises langues, ce qui est, hélas, difficile à désapprouver ! Car le valet aime parler de tout, même de sujets où il n'y connaît rien … Ce qui amène au second défaut qu'il possède, il étale tout le peu de savoir qu'il a, même si ce savoir est bien souvent mal maîtrisé. Mais, soyons indulgents, il est normal de vouloir paraître plus intelligent que les autres. Il est donc fréquent de le retrouver en pleine discussion, où il se plaît à se vanter d'exploits pas toujours vrais. Pourtant il tombe souvent assez vite du pied d'estale où il s'est hissé lorsqu'il se retrouve face à plus grand que lui – ou qu'on le lui rappelle - , il se fait tout petit, et reprend son statut de simple valet. Très pieux, il a une foi bien accrochée, et que rien au monde peut ébranler, pas même son maître (enfin si … un tout petit peu). Pourtant, s'il croit au Ciel et à l'Enfer, il croit également au Moine bourru, aux spectres et autre inepties superstitieuses … Le tout n'étant pas aidé par son cruel mais évident manque d'éducation. De plus, sa crédulité est accentuée par sa peur de tout … Car, même s'il n'aime pas l'entendre, notre petit valet n'est pas bien courageux. Il est capable de s'enfuir à toute jambe après avoir entendu dans la nuit un drôle de bruit qui est souvent dû à un simple chat. Comme si cela ne suffisait pas, sa couardise l'engonce toujours dans de sacrés situations où souvent soit le hasard ou son maître vient l'en tirer. Mais, admettons-le, même avec cette avalanche de défaut, Vincent n'est pas un mauvais bougre, il en est même souvent attachant et comique malgré lui. Sous ses airs de petit vantard, il peut être capable de gentillesse et de pitié. Fidèle à ses valeurs ( enfin cela dépend), il se montre comme un vrai défenseur de la foi et de l'honnêteté auprès de son maître. Mais malgré toutes les bonnes intentions dont il est pourvu, ses défaut le rattrapent et font effondrer toutes les plaidoiries, aussi travaillées soient-elles, qu'il expose à son maître …
Dernière édition par Vincent Mondor le Mar 21 Juil - 13:52, édité 2 fois
Vincent Mondor
Le ridicule ne tue pas... Heureusement !
Titre/Métier : Valet d'Auguste de Villiers Billets envoyés : 30 Situation : Célibataire
Dim 19 Juil - 22:12
On naît tous un jour ...
Vincent, malgré ses quarante ans, n'a pas une histoire bien longue et qui se résume assez vite. À vrai dire, c'est même quelqu'un sans histoire. Enfin … Avant qu'il n'ait eu Auguste de de Villiers comme maître. Mais bon, puisque nous sommes chargés ici de retranscrire le vécu de ce cher Vincent, nous prendrons la peine de vous raconter. Commençons déjà par le début :
À quelques lieues de Paris, un couple venu de la province voyage, dans l'espoir d'atteindre la grande ville pour fuir on ne sait quelle misère ou malheur. L'homme est petit mais fort, et a une barbe drôlement emmêlée. La femme est bien plus jeune et frêle que lui et possède une tignasse frisée envahissante. Elle est faible et enceinte jusqu'aux yeux. Comme vous pouvez en douter, elle perdit les eaux. Son mari s'empresse de la déposer dans une taverne obscure au soin de la patronne, une femme forte aux cheveux poivre et sel pour partir aussitôt de chercher un prêtre pour baptiser l'enfant, pressé. L'enfant vient au monde, il s'agit d'un garçon. Il braille comme pour annoncer lui même sa venue dans le grand monde. D'une voix rauque, la nouvelle mère demande de le voir. Les cheveux frisés de la mère sont collés à son front blanc, brillant de sueur. Son souffle est court. Elle ne passera pas la nuit. On lui donne l'enfant. Elle a tout juste le temps de plonger ses yeux bleus délavés dans ceux remplis d'obscurité de son fils avant de retomber sur l'oreiller comme une chiffe molle. La tavernière improvisée sage femme fait son signe de croix, puis saisit délicatement l'enfant. Le mari arrive enfin avec le saint homme. En voyant le corps inerte et froid de son épouse, il blêmit avant de s'effondrer dessus, ses larmes s'écrasant sur le visage blanc de la morte et son dos est agité de hoquets accompagnés de sanglots sonores. Peu à peu, il se calme, se frotte le visage avec sa manche crasseuse et se lève. Il ne jette même pas un coup d’œil à son fils tout juste né. Il s'assoit sur tabouret branlant, vide la bouteille d'eau de vie que la tavernière lui donne en lot de consolation et quitte les lieux en balbutiant « vais juste faire un tour ». Le tour ne s'est apparemment jamais terminé puisqu'il n'est jamais revenu. La tavernière se retrouvant avec ce « mioche » sur les bras, n'a pas d'autre choix que de le garder. Elle l'appelle Vincent, car « c'est la saint Vincent »qui lui avait dit, M'sieur le curé. Elle nourrit et berce le nouveau-né et le couche dans un vieux panier après l'avoir enrobé dans un linge à la propreté douteuse. Elle retourne alors à son service, faisant ce que tout les braves gens avec les aléas de la vie : ils s'adaptent.
Ainsi naquit Vincent Mondor, le 26 janvier 1626.
Son enfance se déroula pas trop mal, entre une tavernière sévère, des serveuses gaies et affectueuses, des valets d'écurie coquins, des ivrognes chassés à coup de balai et des gamins espiègles, si ce n'est que les quelques entorses et chutes d'enfant casse-cou et des rossées après une ou deux bêtises. À 13 ans il commença à aider les garçons d'écurie, nettoyer les lieux, chercher les provisions et à donner la main aux autres tâches. Deux ans plus tard, un vieux seigneur, un certain baron de la petite Motte de Saint-Héray qui passait par là, le prit à son service comme domestique, le précédant étant parti, profiter pleinement de sa vieillesse. Après multiples recommandations, pleurnicheries et d'adieux, Vincent s'en alla à Paris avec son nouveau maître. Si le nom du baron était grand, sa patience ne l'était pas. Au bout d'un an de service, notre jeune valet est mis à la porte pour avoir colporté quelques rumeurs sur son maître, notamment celui où Monsieur, pour avoir un héritier ( ce qui échouait même avec une seconde femme bien plus jeune que lui), avait fait appel à son meilleur ami pour de "l'aide". Comprenez que le pauvre baron en fut mortifié lorsque cela parvint aux oreilles de son entourages, en particulier celles de ses ennemis qui en profitèrent largement.
Mais retournons à Vincent Mondor.
Suite au scandale provoqué, il se retrouva chassé de la maison à grands coups de pied au derrière. Fort heureusement, un aimable gentilhomme, vicomte du Touret, fort respectable, eut pitié du pauvre bougre et le prit à son service. Il s’avéra être un bon maître et Vincent resta à son service pendant dix ans. Mais, hélas, toutes les bonnes choses ont une fin : croulant sous les dettes dues à son addiction au jeu, le vicomte fut obligé de se priver de personnel et même de quitter Paris.
Une nouvelle fois, Vincent était à la recherche d'un autre maître. Il parvint enfin à en trouver un emploi chez un évêque, qui, malgré ses longs sermons pourtant en harmonie avec le dogme catholique, était fort orgueilleux et méprisait tout ses domestiques. Cependant, il était grand et d'allure noble, par sa présence seule, il imposait le respect et la soumission.
Durant son service chez l'ecclésiaste, il était parvenu à distinguer une femme à travers la masse de celles qui côtoyaient sa vie : Marguerite, une jolie petite blonde aux hanches larges et aux tâches de rousseur innombrables qui faisait régulièrement le ménage chez Monseigneur. Ce fut la première qui parvenait à faire taire Vincent dans ses discours fumeux d'un sourire qu'il jugeait désarmant, qui riait à ses gaffes quotidiennes sans qu'il s'en vexe, trop occupé, à écouter son rire aux résonances enfantines et qui le faisait bégayer. Ses moments où il n'y avait plus de tâches à faire et qu'elle n'était pas là, étaient peuplés de songes et rêves tournant autour de la belle Marguerite. Mais tout fut joyeusement détruit à coups de hache le jour où il la surprit avec l'évêque dans le bureau, effectuant une besogne bien différente de celle qu'on y faisait. Dévasté, notre amoureux les laissa à leur occupation et partit pour la taverne où il but une quantité considérable d'alcool.
Et c'est là, sous le jour le plus piteux qu'il ait jamais été, qu'un homme emmitouflé dans une cape, vint lui parler. Trop étourdi par l'alcool dont il était imbibé, Vincent peinait à saisir tout ses mots distinctement :
- Ça n'a pas l'air d'aller fort, l'ami.
La voix de l'homme était rassurante, elle mettait en confiance et invitait à la confidence. Enfin quelqu'un qui écoutait ses soucis, qui prenait la peine de se pencher sur le pauvre Vincent réduit à se saouler pour soulager sa douleur. Cela ne fit que remonter un peu plus les larmes aux bords des ses yeux. Non pas que Vincent était du genre à exhiber ses émotions en public, mais sa peine étant immense, l'alcool mettant les nerfs à vifs, le fait que quelqu'un se souciait de lui le fit presque pleurer.
- Comm … Comment v… vou … - Comment je le sais? C'est assez visible et de plus, tu es seul dans l'auberge.
Vincent leva la tête. En effet, il était le seul client restant et il faisait déjà noir dehors. Il se frotta le nez et posa ses yeux vitreux sur l'inconnu face à lui. C'était un jeune homme, beau, grand … Tout l'inverse de Vincent. Ses yeux se posaient sur lui avec une sorte de compassion, voire de pitié.
- Dis-moi, c'est une femme qui t'as mis dans cet état ? - Voui … Z'êtes un… un ... m… maître, M'sieur. Non … un … sorcier. Un sorcier … voilà. Et moi chuis … Chuis qu'un … - Chut, l'ami … Ne termine pas ta phrase. Elle t'a trompé pas vrai ?
Notre pauvre bougre ne répondit pas et renifla bruyamment. La scène entrevue par la serrure tournait en boucle dans ses pensées, torturant un peu plus son cœur lourd.
- Mon pauvre ami … Raconte-moi tout ...
Notre ivrogne prit une rasade de vin pour se ragaillardir avant d'entamer un long récit incohérent. Patient, son interlocuteur l'écouta. Mais ce que Vincent ignorait encore, c'est que l'homme face à lui n'était ni un maître ou un sorcier, mais un manipulateur qui connaissait bien la matière avec laquelle il travaille, c'est-à-dire l'âme humaine, doublé d'un coureur de jupons qui avait vu bien des hommes se faire tromper par leur bien-aimée, souvent trop occupée avec lui, et savait donc en reconnaître un au premier coup d’œil. Après que Vincent eut déballé tout ce qu'il avait sur le cœur, il se sentit mieux. Ses yeux étaient certes toujours rouges mais n'étaient plus embués de larmes et son cœur semblait pansé. Il adressa un sourire de remerciement à l'homme en face de lui dont il ignorait toujours l'identité.
- Que vas tu faire maintenant ? - Ben … 'Sais pas … - Tu ne vas tout de même pas retourner chez ce curaillon dépravé qui te paie pour mieux se glisser dans les jupons de ta Marguerite ? -Oui m … mais … - De plus, tu viens de dire qu'il te traitait comme un moins que rien … - Certes, pour … pourtant … - Alors quitte le donc. - Mais il f… faut … bien que j'me … j'me nourrisse ... - Rien ne t'en empêche, l'ami. - Et … l'ar… l'argent ?
Le jeune homme eut l'air de réfléchir.
- Et bien viens donc travailler pour moi ! - Ah ? Mais … - Mais cela est vrai, je ne me suis pas présenté : Vidame Auguste de Villiers. Je recherche un domestique justement, tu feras l'affaire ! - Mais je … - Qu'as tu à perdre ? Après tout ne t'ai-je pas prouvé que j'étais digne de confiance ?
Le regard brumeux de Vincent erra quelques instant sur le sol de la taverne. Il tenta de remplir son verre de vin mais s'aperçut que la bouteille était vide. Il la reposa et regarda le dit Auguste de Villiers
- Pour … pourquoi p.. pas. - Tant mieux ! Viens avec moi !
Mais ce que le valet ignorait, c'est que le Vidame avait depuis le début derrière la tête une idée : celle d'embaucher ce gaillard comme valet. Il avait vite deviné quel genre de personnage était Vincent Mondor, et trouver en lui toutes les qualités qu'il cherchait : lâche ainsi il ne critiquerait pas trop ses idées , ni très beau pour ne pas lui faire concurrence et voir même le mettre en valeur, résistant à toutes les aventures dans lequel il allait tremper et suffisamment fidèle. Son dernier domestique l'avait quitté parce que, malencontreusement, le Vidame n'avait pu s'empêcher de séduire sa fiancée.
Mais ce que Vincent Mondor ne savait pas encore, c'est que ce n'était que le début d'une longue série d'aventures plus ou moins heureuses ...
Dernière édition par Vincent Mondor le Ven 14 Aoû - 14:27, édité 3 fois
Vincent Mondor
Le ridicule ne tue pas... Heureusement !
Titre/Métier : Valet d'Auguste de Villiers Billets envoyés : 30 Situation : Célibataire
Dim 19 Juil - 22:23
Ôtez le masque !
Prénom (Pseudo) : Louise † Âge : 17 ans † Comment êtes-vous arrivé jusqu'ici ? grâce à Jo, qui a énormément insisté pour que je fasse son cher valet ( et que je salue au passage !) † comment trouvez-vous le forum ? une ambiance sympathique pour l'instant ! † Le code du règlement : Fais tu partie du complot ( ayé ! AI trouvé !) † Citation : Le ridicule ne tue pas ... fort heureusement. † Un dernier mot ? Euh ... Bonjour ?
test rp, un minimum de 300 mots est demandé:
« BOUM !BOUM ! »
Le bruit retentit dans toute la chambre de Vincent, sonore. Mais ce n'était rien par rapport au ronflement de Vincent, étalé de tout son long sur le lit, sur le ventre, un léger filet de bave au coin des lèvres. Il était encore habillé, n'ayant pas eu le temps de retirer son costume, la nuit ayant été courte vu que Monsieur avait quelques « affaires à régler » avec une petite bourgeoise. Comme à son habitude Vincent était resté debout devant la porte à faire le guet pendant que le Vidame faisait ses « affaires ». Une fois dans sa chambre d'auberge, il s'était endormi se souciant peu de sa tenue, trop heureux de retrouver son lit, un sourire aux lèvres se disant que demain était dimanche.
« BOUM ! BOUM ! BOUM ! VINCENT ! »
Notre petit valet ouvrit un œil jaune encore de sommeil. Son ronflement avait cessé pour laisser place à un grognement dont on doutait l'humanité. Il gratta son menton mal rasé, et rabattit aussitôt son oreiller sur sa tête, grognant un nouvelle fois. Il tenait à rattraper ses heures de sommeil perdues, quoiqu'il en coûte.
Il eut cette fois-ci pas de « BOUM » mais un long grincement qui accompagnait l'ouverture de la porte et le bruit de talons sur le parquet. Puis plus rien, du silence … Enfin. Vincent sourit, heureux de pouvoir enfin reprendre sa nuit là où il l'avait laissé. Il sentit un souffle régulier sur son visage et quelque chose lui chatouiller la joue. Un petit rire ironique tout proche lui parvint aux oreilles Lorsque ses paupières se soulevèrent, il vit de très près ( trop sans doute) le visage blanc d'Auguste de Villiers qui souriait moqueusement, encadré de boucles brunes dont une caressait sa joue.Les yeux de Vincent s'agrandirent et il se leva et recula brusquement, tombant ainsi de son matelas.
« BOUM ! »
Les cheveux décoiffés, le souffle court et les yeux affolés, Vincent, assis par terre, regardait son maître, paniqué. Que lui arrivait-il ? Le dimanche matin, le jeune Villiers dormait normalement et voilà qu'il était vêtu de son habit de voyage, ses bottes fourrées et son chapeau et gants mis.
- Mais vous avez perdu la tête ? Me faire des peurs pareilles à une telle heure de la matinée !
Il était en effet assez tôt puisque le soleil commençait à peine à poindre ses rayons vermeils. Le sourire amusé du noble laissa place à une moue agacée. Il se retourna sur lui même et se dirigea vers la porte en lançant à son domestique :
- Tu ferais mille fois mieux de te rendre présentable un minimum, nous partons tout de suite pour l'Espagne. - Mais … Mais … Et mon dimanche ? balbutia Vincent, ne saisissant pas bien la situation.
Dernière édition par Vincent Mondor le Mer 22 Juil - 22:46, édité 3 fois
Vincent Mondor
Le ridicule ne tue pas... Heureusement !
Titre/Métier : Valet d'Auguste de Villiers Billets envoyés : 30 Situation : Célibataire
Lun 20 Juil - 1:36
Vinceeeeeeeent ayeeeeest
Ah ta fiche est trop chouette !! j'aime déjà Vincent plus que je ne le devrais
Par contre je crois que tu as eu un incident de fiche il manque la partie test rp dans la dernière partie de la fiche ^^ (ou peut-être que tu as fait exprès je ne sais pas )
En tout cas bravo, l'attente est carrément récompensée C'est Guguste qui va être content
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Lun 20 Juil - 11:35
Ton petit message me fait plaisir, tu ne peux pas savoir !
J'avais eu peur que Vincent soit trop caricaturé, pas assez profond, et comme il est plus vieux que "Guguste" (comme tu dis), ça compliquait les choses d'une part ...
Mais bref je suis contente que ça plaise malgré tout
Quand au Rp, j'ai corrigé la chose mais ... à quoi ça sert ? :gne:
Merci encore de ton petit mot ! Bisous
Dernière édition par Vincent Mondor le Mar 21 Juil - 14:09, édité 1 fois
Vincent Mondor
Le ridicule ne tue pas... Heureusement !
Titre/Métier : Valet d'Auguste de Villiers Billets envoyés : 30 Situation : Célibataire
Lun 20 Juil - 11:46
Ahah en même temps le personnage de Vincent s'inspire d'une sacrée caricature et puis on sent bien que tu en fais quelque chose d'un peu plus profond que "juste" Sganarelle ^^
Ca sert à voir si tu as bien compris comment se font les rp du coup tu peux soit écrire un début de rp que tu réutiliseras dans la partie rp si tu veux, soit juste écrire un post comme ça sans vraiment de but. Si tu as besoin je peux te passer une idée de sujet pour t'aider
Ah j'ai une dernière remarque, il manque aussi le code du règlement que tu dois mettre à la place de "Pris en compte"
De rien je le pense et je suis heureux de pouvoir t'accueillir parmi nous !
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Lun 20 Juil - 14:08
Que de compliments ! J'en rougis
Pour le rp, je ne dirais pas non à une petite idée à ronger ... ça serait vraiment sympathique
Désolé pour le code du règlement mais c'est un des trucs dont je n'ai pas saisi .... Il faut que je mette quoi ?
Oui, je demande beaucoup de choses, je sais ... Mais c'est le prix à payer lorsqu'on est nouvelle !
Merci pour ton aide, je sais pas ce que je ferais sans toi !
Bisous
Vincent Mondor
Le ridicule ne tue pas... Heureusement !
Titre/Métier : Valet d'Auguste de Villiers Billets envoyés : 30 Situation : Célibataire
Lun 20 Juil - 14:50
Hey
Superbe fiche ! J'ai hâte de voir ton test rp ! (pour lequel je n'ai malheureusement pas encore d'idée mais si ça vient je te ferais signe.
Pour le code, il s'agit d'un message dissimulé dans le règlement (https://vexilla-regis.1fr1.net/t4-charte-royale) tu dois le reconstituer, il est en 3 partie si ma mémoire est exact
Au plaisir de te voir bientôt
Gabriel de La Reynie
Dura Lex, Sed Lex
Billets envoyés : 184 Situation : célibataire par intermittence
Lun 20 Juil - 21:23
Coucou !
Merci pour ton aide
Mais dans le code, c'est vraiment caché ou juste dispaché ? Parce que sur les trois parties je n'en ai trouvé qu'une ... Et je ne comprends toujours pas l'utilité de la chose ... Oui, désolée, je suis un vrai boulet ( un des points communs que je possède avec mon personnage, hélas )
En espérant que je suis pas trop exaspérante, Bisous
Vincent Mondor
Le ridicule ne tue pas... Heureusement !
Titre/Métier : Valet d'Auguste de Villiers Billets envoyés : 30 Situation : Célibataire
Lun 20 Juil - 21:48
C'est dispatché de façon à ce que tu lise tout le règlement
Lyssa Celeste di Milena
Pourquoi un corbeau ressemble-t-il à un bureau ?
Billets envoyés : 111 Situation : Célibataire
Lun 20 Juil - 23:42
C'est pour éviter les petits malins qui feraient genre "oui oui j'ai lu" et après nous on est obligés de leur taper sur les doigts x)
Pour ton test rp, tu pourrais peut-être raconter Vincent qui fait une course pour Auguste, ou qui part en repérage de jeunes demoiselles à se mettre sous la dent
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Mar 21 Juil - 13:51
Merci jeunes gens de votre aide précieuse ! Je m'en vais décrypter la charte ... ( même si je l'ai déjà lue ...)
Mille mercis pour ton idée, elle m'a l'air pas mal du tout , je vais m'y coller tout de suite
Je sais pas ce que je ferais sans vous , grazie mille !
Bisous:lovely:
Vincent Mondor
Le ridicule ne tue pas... Heureusement !
Titre/Métier : Valet d'Auguste de Villiers Billets envoyés : 30 Situation : Célibataire
Mer 22 Juil - 14:17
Aow mais c'est que ce petit valet est fort adorable
Ne t'inquiète pas, prends ton temps
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Titre/Métier : Valet d'Auguste de Villiers Billets envoyés : 30 Situation : Célibataire
Jeu 23 Juil - 15:37
TU ES VALIDE(E)
HAN JE PEUX TE VALIDER !! C'EST TROP COOL !!!
Ta fiche est tellement sympa, je me suis marré à plusieurs reprises en te lisant ! Vincent va être trop bien à jouer, je suis tellement content que mon petit PV va être incarné et surtout incarné par toi !
En tout cas j'ai hâte de te lire en rp avec Auguste ! Ca promet des scènes dignes de Molière :blblblbl:
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Jeu 23 Juil - 16:08
Viiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!!!!!!!
Super !!!
Merci beaucoup !! je suis trop contente !!
Je vais me mettre tout de suite au boulot, illlico !!
Plein de gros bisous !
Vincent Mondor
Le ridicule ne tue pas... Heureusement !
Titre/Métier : Valet d'Auguste de Villiers Billets envoyés : 30 Situation : Célibataire
Jeu 23 Juil - 16:15
Ahah tout le monde est content
De rien c'est vraiment avec plaisir que je te valide
maintenant...
VA DONC TRAVAILLER !! :gnahah:
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Jeu 23 Juil - 17:40
FÉLICITATIONS & BIENVENUE !
Yeaaah ! On a un Vincent. Et il est tout attachant, le récit est génial : ça se voit que tu t'es éclatée à lui donner vie.
Impatiente de lire ce que ça va donner en RP avec ce cher de Villiers.
Catherine Duparvis
- L'Orpheline de Paris -
Titre/Métier : Rubanière chez Madame De Lasalle, rue Quincampoix. Billets envoyés : 59 Situation : Célibataire, n'a d'yeux que pour son travail...
Jeu 23 Juil - 18:06
Bienvenue avec un peu de retard
Comme tout le monde j'ai beaucoup aimé ta fiche ! Vincent est vraiment un personnage haut en couleurs qui s'annonce très sympa à suivre en rps
Madeleine Béjart
Comédienne aux 1001 masques.
Titre/Métier : Comédienne Billets envoyés : 1036 Situation : Officiellement célibataire, officieusement passe un peu trop de temps chez Gabriel de La Reynie Crédits : AvengedInChain / P!A
Jeu 23 Juil - 18:27
Merci braves gens ! Vos petits messages me font vraiment plaisir . J'avoue que je me suis assez amusé à incarner mon petit sganarelle ^^
Quant à mon rp avec Auguste, j'attends le signal de mon cher maître pour commencer mon rp donc il risque d'avoir un peu d'attente Désolée ...
Par contre, je sais pas à partir de quand faut il lancer les dés :gnu?:
Merci encore :3
Vincent Mondor
Le ridicule ne tue pas... Heureusement !
Titre/Métier : Valet d'Auguste de Villiers Billets envoyés : 30 Situation : Célibataire
Jeu 23 Juil - 18:41
Oh le lancer de dès c'est seulement quand dans ton rp tu sens que tu te retrouve dans une situation où ton personnage ne peut pas réussir grâce à ses seules capacités Genre tu vas pas lancer des dès pour savoir si tu arrives à écrire une lettre. Par contre s'il décide d'aller danser sur une table branlante, là il va falloir faire preuve d'adresse et lancer un dès pour savoir si tu y arrives ou si tu te ramasse
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Ven 24 Juil - 12:07
JE LE SAVAIS QUE TU FERAIS QUELQUE CHOSE DE GENIAL!!!
Je te l'avais bien dit^^ je suis tellement contente que tu te sois lancée ta fiche est teeellement sympa, je suis sûre qu'on n'aurait pas pu trouver un meilleur Vincent Il est tellement attachant^^
Et j'aurais bien voulu te souhaiter bienvenue plus tôt... MAIS QUELLE IDEE DE POSTER ENFIN TA FICHE QUAND JE NE SUIS PAS LA J'AVAIS TROP HATE DE LA LIRE (tu m'as aidée à développer ma patience xD)
(et pour un rp c'est quand tu veux^^)
Auguste de Villiers
Bouche de miel, cœur de fiel
Titre/Métier : Vidame de Villiers Billets envoyés : 119 Situation : Marié, mais jamais trop longtemps
Ven 24 Juil - 22:10
Merci tit bout je suis contente que ça te plaise et que j'ai été à la hauteur de tes attentes ...
Désolée de ne pas t'avoir prévenue que j'avais posté ma fiche ... Tu m'en veux ? :succes:
En tout cas, pour le rp tu as des idées ? Parce que c'est toi le maître, et moi, pitit valet que je suis, je te suis, en grommelant certes, mais je te suis ... Je te laisse le choix des aventures de ton perso
Bisous
Vincent Mondor
Le ridicule ne tue pas... Heureusement !
Titre/Métier : Valet d'Auguste de Villiers Billets envoyés : 30 Situation : Célibataire