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 Une rencontre loin d'être hasardeuse...[PV Melechia Ducatore]


Une rencontre loin d'être hasardeuse...[PV Melechia Ducatore] EmptyLun 12 Oct - 18:00

Thomas avait choisi, en cette période assez tranquille, quoique Paris ne soit jamais tranquille, de se vêtir comme à son habitude, tout de cuir. Son grand chapeau sur le crâne, son épée aux côtés et ses pistolets soigneusement rangé, il respirait, en cette journée, la vivacité, et la fraîcheur. Le jeune lieutenant, aussi espion du roi, avait reçu une mission assez typique en soit pour un espion. Un assassin, plutôt réputé, du nom de Jean coupe-jarrets, avait réussi à s'enfuir. Il aurait dût être pendu, mais malheureusement, les policiers de Paris étant plus incompétents que trois chiens, l'avait laissé filer alors qu'ils le menaient à la potence. Bien sûr, cet homme représentait une menace direct pour le roi et la cour... Aussi devait-il être arrêter, et exécuter. Mais avant de procéder à ce genre de choses, il fallait encore savoir où trouver l'homme, et comme la police de Paris n'en avait aucune idée... C'était à Thomas de chercher. Comme d'habitude, ça ne changeait pas trop au moins, c'était pas une nouveauté.

Ainsi, après avoir laissé les quelques instructions utiles à la Garde, il était sorti de la caserne et se retrouvait à présent à errer dans les rues de Paris. Le ciel, triste en ce jour par les nuages gris qui le formaient, la terre boueuse d'une pluie récente, les odeurs de la pluie et de la misère, tout contribuait à faire de Paris la plus belle ville puante de France. Thomas le savait, l'odeur était pour certains infects, surtout pour ceux qui n'y était pas habitué, pour les autres... L'odeur faisait parti du paysage autant que le palais royal ou la police de Paris. Police bien absente en cette journée. Thomas ne tarda pas à se retrouver sur la place du marché qui grouillait de marchands voulant vendre leurs fruits, leurs légumes, leurs viandes. Sur les étalages amoncelaient des canards ou des poulets, quelques oiseaux de proies. Les légumes s'entassaient eux aussi dans un mélange de couleurs et de poussière, et les vendeurs criaient à qui mieux-mieux pour vendre leurs produits et attirer la clientèle... Bienvenue à Paris. Thomas ne savait pas par où commencer son enquête et le marché n'était peut-être pas le lieu idéal. Mais il avait un contact qui allait lui être plus qu'utile.

Il s'agissait d'une jeune fille qui savait se faufiler un peu partout et qui se révélait fort utile. Elle avait les informations qu'il fallait parfois, mais son avantage était qu'elle avait accès à des lieux où le garde était loin de pouvoir en dire autant bien que ces derniers temps, il avait réussi à infiltrer quelques lieux intéressants. Aussi, si quelqu'un pourrait lui donner des informations, c'était Melechia Ducatore. Rester à prier pour que ce soit vrai... et à la trouver aussi. Mais le marché, elle avait de forte chance d'y passer. Thomas acheta une pomme et croqua dedans avec satisfaction. Il fallait bien passer le temps non? Son regard furetait un peu partout pour trouver le jeune fille. Mouais, enfin, elle risquait d'y passer tout comme elle ne pourrait pas y passer. Il fallait à tout prix qu'il la trouve, il le fallait. Elle pourrait lui donner des indices pour commencer son enquête. Si bien sûr cette petite tête de mule voudrait lui faire cadeau des indices. Il eut le temps d'avoir fini sa pomme et allait partir lorsqu'il remarqua une jeune fille qui courait justement vers lui. C'était elle. Au moment où elle le doubla, il se saisit d'elle par son manteau et se jeta dans une rue annexe. Personne ne semblait l'avoir vu et tout était allé très vite. Elle, en revanche, se débattait un peu plus chaque seconde. Il la tourna face à lui et elle dut le reconnaître car elle cessa de se débattre. Il la lâcha et déclara rapidement:

- Inutile de me dire où tu courrais comme ça et pourquoi tu courrais, je m'en fiche pour aujourd'hui.

il ne lui laissa pas le temps de se remettre de ses émotions qu'il enchaînait. oui, il était direct, et alors? Il le fallait, le temps, il était loin d'en avoir, au contraire, il lui en manquait, s'il avait pu le racheter, il l'aurait fait, mais c'était impossible, donc, voilà. Il continua donc:

- J'ai besoin d'une information. As-tu entendu parler d'un certain Jean. Jean coupe-jarrets.

Il n'en déclara pas plus, mais il se doutait qu'elle devait forcément du en entendre parler étant donné que tout Paris était au courant de l'échec de la police et de son incapacité à tenir un homme. C'était quand même incroyable qu'il ait pu s'échapper, il avait forcément dût avoir des complices, mais pour l'heure, Thomas s'en moquait un peu.
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Une rencontre loin d'être hasardeuse...[PV Melechia Ducatore] EmptyVen 23 Oct - 21:43

Quelqu’un d’autre aurait sans doute considéré que c’était une situation potentiellement merdique. Mais Mel partait du principe que sa vie était une situation merdique, elle prenait donc la chose avec philosophie. En tout cas, elle tentait de le faire tout en bousculant un bourgeois qui avait la très mauvaise idée de se trouver sur son passage alors qu’elle voulait sauver sa peau.



Tout ça c’était à cause de sa grande gueule et de la stupide susceptibilité de Charles le Bigleux. Charles le bigleux n’avait aucun problème de vision. En tout cas, il avait à merveilles viser sa joue quand il avait voulu lui flanquer un coup de poing. Charles le Bigleux était un morveux de quinze ans qui avait la très mauvaise idée de passer du stade de morveux à celui de terreur. Un colosse stupide avec des mains comme des battoirs et une furieuse tendance à frapper les gens. Bref, une de ses grosses petites frappes qui pullulaient à la cour des miracles. Et il détestait Mel depuis une éternité. L’éternité se résumant dans ce cas très précis à l’époque bénie de l’enfance ou Mel était plus grande que lui et où elle pouvait faire de sa vie une longue suite d’humiliation et de remarques blessantes.



Et malheureusement pour elle, elle n’avait pas perdu ses mauvaises habitudes en voyant Charles gagner des centimètres. À sa décharge, cet abruti méritait chacune de ses moqueries. Imbu de sa propre personne et persuadé d’être un génie du crime, il aimait à pérorer sur ses talents. Alors qu’il n’en avait aucun.



Bref, en l’entendant se vanter à propos de la vieille pute syphilitique qu’il avait baisé et dont il avait prit l’argent Mel n’avait pas put résister. Et elle s’était foutu de lui. Ce qui était drôle. Jusqu’à ce qu’il réplique par un coup de poing. Et cette petite merde arrogante tapait vraiment fort pour un géant stupide. La joue encore rouge Mel avait fuit avec le plus de panache possible. Elle n’était pas vraiment courage et ne voyait aucun intérêt à se faire tabasser par orgueil. En plus, elle était déjà assez moche, les bleus allaient rien arranger.



La merde détrempée qui formaient la boue parisienne giclait à chacun de ses pas alors qu’elle dévalait les rues au hasard dans le vague espoir de semer son assaillant. 



Bon sang ! Comment quelqu’un aussi grand et stupide pouvait courir aussi vite?



Elle rentra dans une femme au ventre monstrueux et ne prit pas le temps de s’excuser. Elle ne l’aurait pas fait. Mais cette fois, elle avait une bonne excuse. 


Un stupide gosse eut la mauvaise idée de se mettre sur son chemin alors qu’elle se dirigeait vers le marché avec le fol espoir de semer l’autre abruti. Au milieu de passants, elle avait le vague espoir de passer inaperçu. Sinon, elle lui enverrais un jambon dans la figure et sera débarrasser. 



Alors qu’elle voyait sa vie sauvée par une jambe de cochon séché, elle sentit quelque chose la saisir par le col. Et là, elle commençait à un peu protester. L’univers ne pouvait pas s’acharner à ce point contre elle. Il existait sur cette terre des êtres bien plus haïssable qui méritaient la foudre divine.

Elle tentait vaguement d’échapper au nouvel assaillant, sans trop de doute sur sa capacité à réagir. Puis elle le reconnu.Thomas… truc… Un suisse qui portait un nom de suisse. Les suisses étant une race pourrie sans conviction et sans panache. Accessoirement les suisses étaient une des troupes militaires qui restait à Paris. Un véritable fléau. Ça buvait, ça allait aux putes, ça violait les filles etc, etc. Comme tout les truands quoi. Sauf que ça le faisait au nom de la loi. Et les suisses maintenaient aussi l’ordre. De temps en temps. À la place de la police. Un espèce de système totalement débile ou Mel ne comprenait pas trop qui faisait quoi. Et en fait elle s’en foutait.



- Je pensais justement à ta délicieuse et virile présence alors que je tentais de sauver ma peau d’un buffle connard. Une espèce de truc encore moins sophistiqué qu’un suisse qui se fait sodomiser par un chien. Ne te vexe pas. Mais tes compatriotes sont un ramassis d’abrutis branleur et pas foutu d’en faire une. Les italiens sont des êtres sophistiqués, les français vivent dans le plus beau pays au monde et les anglais font chier le monde depuis leur île. Mais les Suisses. Vous êtes des sangsues perdues dans les montagnes. Et on se sert de vous pour faire la saigner du bon peuple parisien qui ne demande qu’à vivre en paix ! Si tu avais un temps soit peu de sens morale tu irais confesser tes torts et tu partirais en pèlerinage à St Jacques ou mieux à Jérusalem !

Tout en parlant, et en insultant son interlocuteur, Mel vérifiait ce qui se passait derrière elle. Mais visiblement l’intervention de Thomas avait eut ceci de bon que Charles les avait perdu. Dieu l’aimait ! Elle retirait tout ce qu’elle avait pensé d’irréligieux pour les dernières semaines.

Puis, elle eut un sourire en direction de Thomas. Sourire qui creusa des fossettes dans un visage encore très enfantin (contrairement à Charles, elle n’évoluait pas) mais qui n’atteignait absolument pas ses yeux.



- Je pourrais continuer longtemps à expliquer les torts des gens de ton espèce. Mais je pense que tu as l’idée général. Au fond tu es un bon gars, et pour ne pas plus t’accabler je garderais le silence. Passe une bonne fin de journée.



Sans grande conviction, elle tenta de partir. Ses chances de succès étaient très faibles. Mais elle avait encore un peu de dignité. Elle ne collaborait avec le suisse que parce qu’on lui en avait donné l’ordre. Ici il n’y avait ni ordre, ni or. Donc pas de raison de l’aider. Elle pouvait donc se tirer en paix sans que ça ne soit une défaillance professionnel.



Est ce qu’un pigeon venait vraiment de lui chier dans le dos?


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Une rencontre loin d'être hasardeuse...[PV Melechia Ducatore] EmptyLun 2 Nov - 17:49

Bon, au moins allait-elle bien. Bontemps serait heureux de l'apprendre. Comment le savoir? Et bien, au vue de sa tirade assez impressionante pour une gamine de douze ans. Elle essayait de sauver sa peau d'un quoi? Un buffle?!! Oui, c'était le langage de Mel, elle avait le don très particulier de changer, pour aujourd'hui, les personnes en animaux lorsqu'elle parlait d'eux. Thomas sourit à l'évocation des suisses. Elle lui donna alors toute sa logique et son raisonnement. Certes, les français vivaient dans un beau pays, un pays pour l'instant qui semblait s'en sortir, certes, mais pour combien de temps, les anglais, Thomas rejoignait le point de vue de la fillette, n'était pas foutus de faire autre chose que d'emmerder leur monde depuis leur île perdu entre la manche et la mer du nord. Quand à ce que les italiens soient des êtres sophistiqués, il eut une belle grimace. Que dalle ouais!! Les italiens étaient les plus grands menteurs et les plus grands beaux parleurs de ce monde, ils étaient capable de décrire de la merde comme si c'était de l'or, à la différence que c'était de la merde, bien entendu. Et après on disait des orientaux qu'ils faisaient tout pour vendre... Pfff. M'enfin, le suisse n'était pas là pour discuter de civilisation, ni de mode de vie, il était là dans un but précis.

Bien sûr, elle continuait sur sa lancée, pour elle, il aurait du faire un pèlerinage à saint jacques de Compostelle... Pourquoi pas, on lui avait raconté que les espagnoles étaient divines, il aurait bien voulu voir, et leur nourriture épicé n'en était pas moins délicieuse... Oui, c'était une bonne destination, pourquoi pas après tout? Jérusalem avait quand même le désavantage d'être un peu loin, perdu dans les sables, et surtout, elle était entourée de types qui ne voulaient rien d'autres que votre peau. Autant dire que ce n'était pas la meilleure destination. Et puis, voir une vieille tombe... Non, il y avait mieux quand même. Thomas allait justement lui répondre que l'Espagne lui correspondrait mieux, mais malheureusement, elle avait déjà, rapidement, repris la parole. C'est qu'elle parlait bien vite, et surtout qu'elle l’agaçait. Lorsqu'elle parla de silence, il n'en crut pas ses oreilles, une telle notion allait être difficile à apprendre à une personne telle qu'elle. Il ne prit néanmoins pas la peine de lui répondre, mais lorsqu'il la vit lui souhaiter une bonne journée et se détourner comme si de rien n'était, il n'y tint plus. Il se pencha, ramassa un peu de boue, et la lança dans le dos de la jeune fille.

L'effet fut immédiat. Elle s'arrêta. Enfin un peu de bon sens. Elle avait donc le dos un peu crotté, maintenant un peu puant, mais ça partirait de toute manière, ce ne serait plus visible bientôt. Il resta là les bras croisé et mais commençait clairement à perdre patience. Elle finit par lentement se retourner. Il lui sourit, l'air innocent, et moqueur, bien sûr. Qu'est-ce qui embêtait le plus la jeune fille? Le fait que ce soit lui qui lui ait envoyé de la boue, ou le fait qu'elle se soit prise de la boue dans la dos? Il ne le savait pas, mais il s'en moquait. Croisant les bras, il finit par demander en secouant la tête:

- est-ce que tu m'écoutes un peu? J'ai besoin de toi, et des quelques informations que tu as dû récupérer.

Il s'avança vers elle. Elle ne céderait pas vu ce qu'il venait de faire. Oui, d'accord, c'était peut-être stupide, trop idiot me direz-vous, mais bon, ça avait au moins le mérite de fonctionner non? Elle avait fermé son clapet pendant quelques minutes, bon, il fallait espérer qu'elle l'ouvre dans quelques minutes, mais il ne se faisait pas trop de soucis sur ça. Oui, elle allait ouvrir sa petite bouche. Elle était bavarde, ça jouait en faveur du suisse ça, après, c'était pas dit qu'elle lui dise ce qu'il voulait entendre, mais bon, il ne la rendrait pas muette, ça il en était sûr. Il se pencha vers elle. Comme elle ne céderait pas, il devait trouver autre chose, un compromis, ou du chantage, pour qu'elle joue en sa faveur. C'était le problème avec elle: Il ne savait pas vraiment dans quel camp elle se plaçait. Du moins pour le moment. Elle était capable de lui trancher la gorge tout comme elle pouvait combattre à ses côtés, c'était Melechia, mais bon, c'était problématique. Il finit par trouver une solution qui lui permettrait peut-être d'obtenir quelque chose, du moins l’espérait-il. Première tentative donc:

- Je suis sûr que ton copain le buffle sera ravi lorsque je t’amènerais à lui. Vois-tu, comme tu l'as si bien dit, les suisses sont là pour saigner le petit peuple, alors, je commencerais peut-être par toi... Sauf si tu me dis ce que je veux savoir.

C'était faux. Il n'était pas le genre de suisse à écraser le peuple sous sa botte, mais bon, il était vrai que sous les ordres du roi, il pouvait être amené à le faire. ça arrivait, c'était déjà arriver, ça arriverait encore, n'ayez crainte. Thomas le savait, à son poste, il devait obéir, sinon il dégageait. La Loi du roi, c'était la loi que vous deviez suivre, ses ordres étaient les bons et vous deviez les exécuter si vous vouliez rester en vie, bien qu'il soit possible que vous dérogiez quelques fois à la règle. Il se releva finalement de toute sa taille et continua:

- On peut donc régler ça à l'amiable, ou alors, je peux t'amener à ton cher ami qui, à l'heure actuelle, doit encore te chercher.

Il attendit donc une possible réponse, le seul problème étant toujours qu'il ne savait pas si elle serait négative, ou positive. Si elle était négative, il trouverait un autre moyen, ou il l’amènerait au type, à elle de voir. Et si elle tentait de fuir? Question qui devait être posée tout de même, bien que ce ne soit pas vraiment son genre dans ce genre de situation, du moins, en temps normal. Mais après tout, depuis quand tout était normal? Mouais, pas depuis longtemps, pour ne pas dire jamais. Il n'y avait rien de normal dans cette foutue ville, c'était d'ailleurs ce qui faisait sa beauté et son danger. Mais au cas où elle tenterait de fuir, il avait sur lui ses deux charmants pistolets ce qui conduirait inévitablement à quelque chose qu'il ne voudrait pas, mais qui devrait arriver. Après tout, Bontemps voulait qu'elle reste en vie, il avait pas donné trop de précision après. Mais pourquoi c'était Thomas qui se trouvait avec elle? Il aurait du aller voir le chevalier de la roseraie, ça aurait peut-être été plus rapide, mais bon, il n'aurait sans doute pas eu les informations que Thomas voulaient. Non, une bonne source d'informations, c'était la fille, et elle était devant lui, alors autant en profiter. Maintenant. Après, elle ferait ce que bon lui chante.
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Une rencontre loin d'être hasardeuse...[PV Melechia Ducatore] EmptyVen 6 Nov - 15:05

C’était pire qu’un pigeon ! Au moins ces cons de volatiles avait l’excuse de leur stupidité. L’autre tortionnaire non. Enfin, Mel pensait sincèrement qu’il était con ! Mais il était pas forcé de se comporter comme tel. Il pouvait tenter de prouver qu’il était au dessus de tout ça. Mais non.

Elle releva le nez dans un mouvement hautain et orgueilleux. Mouvement un peu raté à cause de la boue qui dégoulinait dans son dos et beaucoup gâché parce qu’elle restait un ridicule petit rase-motte.

Mais la volonté était là ! Et quand la volonté était là, tout pouvait s’arranger. Elle croisa les bras et eut une grimace qui se situait quelque part entre le dédaigneux et le moquer;


- Ah bah bravo ! Elle est belle l’armée.

Elle frappa dans ses mains pour un applaudissement sardonique :

- Eh abruti ! Tu leur balance aussi de la boue à la famille royale. OU c’est un traitement réservé parce que tu m’aimes bien. Je sais que je t’ai dit de pas conserver tes sentiments pour toi. Mais cette déclaration est une saloperie salissante et j’aurais préféré que tu t’abstienne. En plus mes sentiments ne sont ABSOLUMENT PAS réciproque. Et comme je ressemble à un garçon de 11 ans, m’aimer est sacrément glauque. Tu le sais ça? À moins bien sur que tu ne sois tombé sous le charme de mon esprit subtil et délicat. D’ailleurs je crois que je me suis montrée un peu trop délicate avec toi. La dernière, et unique fois, ou je t’ai aidé on m’a menacé ! Le boss m’a fait comprendre que j’avais le choix entre cracher ces trucs ou cracher l’eau qu’ils me foutraient de force dans le gosier. Donc sauf si tu peux me soumettre à la question en cas de non coopération je ne vois pas pourquoi je t’aiderais. En plus t’as pourrie ma meilleure veste et ça c’est fourbe et pas sympa du tout. J’ai pas des gentils petit domestique qui me lave les fringues moi ! Je le fais toute seule ! À la force du poignet ! Dans de l’eau froide et avec de la lessive qui pue ! Et comme je le fais bien ça prends du temps. Et du coup je peux moins travailler. Et je vais finir encore plus pauvre et ce sera de ta faute ! Et ça c’est vraiment fourbe et connard.



Elle le regarda en plissant les yeux avant de demander :



- Non mais je rêve ou tu viens de me menacer là? Ça aussi c’est tout bonnement dégueulasse. Tu veux que je te dise? Tu t’acharnes sur moi en profitant de ma faiblesse et de ma délicatesse naturel ! Et ça c’est encore plus connard que de pourrir mes vêtements. D’ailleurs je t’ai dit que depuis ton lancé j’avais l’impression de puer grave? Parce que c’est le cas. Et ça fait pas cinq minutes que j’en ai déjà marre ! Et je me tairais pas parce que la moindre des choses dans ce genre de cas c’est de se comporter comme un gentleman et de m’écouter me plaindre. Au cas ou tu ne le saurais pas, le terme gentleman est employé outre manche pour désigner un honnête homme. Et au fond tu aimerai être un honnête homme.



Finalement, elle consentit à pousser un soupir qui aurait sans doute rendu les plus grand tragédien jaloux tellement il était théâtrale et absolument pas crédible.

- Tu veux que je te dise le pire dans cette merde. Tu as gagné ! Je préfère perdre ma crédibilité et mes infos plutôt que mes dents. Elles sont jolies hein?



Elle lui dédia un sourire pour montrer la qualité de ses dents qui étaient jaunes et partaient de travers comme celle de presque tout le monde à cette époque ! En plus, elle étirait trop les lèvres ce qui montrait les gencives. En fait, elle avait l’air totalement cinglé en faisant ça. Le genre de personne qui dépeçait des lapins pour le plaisir. 



- Donc je te dirais ce que tu as envie d’entendre. Mais je tiens à ce que tu précises dans ton rapport que je n’ai pas du tout collaborer. Tu diras à Bontemps que je n’ai rendu les armes qu’après une agression physique avéré sur ma personne et mon hygiène personnelle. Et tu n’oubliera pas de mentionner le sinistre chantage que tu as utilise pour m’amener à discuter ! J’ai un honneur à respecté quoi ! Il manquerai plus que vous me confondiez avec les mouches et autre traitres qui donnent des infos à la police. Je sais qu’il faut bien vivre ! Mais trahir la cause malhonnête pour s’accointer avec des voyous dans ton genre c’est quand même un peu triste.



Elle retira sa veste parce qu’avoir de la boue sur le dos n’était pas vraiment agréable. Puis regarda Thomas au fond des yeux:



- Oh et autre chose avant de collaborer.



Un coup de pieds dans une flaque de boue, mélangée à de la merde nous ne le préciserons jamais assez, recouvrit le pantalon du suisse du répugnant mélange. Elle en profita aussi pour se pencher en ramasser une pleine poignée et la lui jeter sur le torse. Après quoi elle s’essuya soigneusement les doigts sur son bras :



- On est quitte mon mignon ! Par contre je sais pas du tout pourquoi tu veux me voir. je sais que tu me la dis, mais j’étais tellement occupé à protester que j’ai oublier. Ça te dirais de répéter que je vois ce que je peux faire pour toi. Oh et évidemment il va falloir que l’on négocie mon salaire. Je ne travaille pas pour la beauté de l’art ! Et encore moins pour le plaisir de t’envoyer de la boue à la gueule. Même si c’était drôle !
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Une rencontre loin d'être hasardeuse...[PV Melechia Ducatore] EmptyMar 17 Nov - 18:51

D'accord, ça avait pas été une brillante idée que de balancer de la boue sur cette charmante personne qu'était Mel, mais il fallait bien avouer que ça avait le mérite d'avoir fonctionné, et en fait, c'était là tout le but. Elle s'était d'abord arrêter, elle était pas idiote au point de partir comme ça, et comme elle était assez facile à faire sortir de ses gonds, tout jouait en la faveur de Thomas. Enfin pas tout non. C'était dire ça un peu vite quand on savait qu'il avait besoin d'elle. Elle lui en voulait clairement. Si elle avait pu, thomas se demandait si elle ne l'aurait pas tuer sur le champ... Peut-être pas quand même. M'enfin, on pouvait se la poser la question. Elle se mit à l'applaudir. C'est pas vrai... Il baissa son chapeau sur sa figure histoire de se cacher un peu. Il ne savait pas vraiment ce qu'il ressentait: Honte ou colère? Un peu des doutes sans aucun doute. Il remit son chapeau en place, assez mécontent. Cette fille l’agaçait, elle était capable de le faire sortir de ses gonds elle aussi. Bon sang... Bontemps devrait la confier à quelqu'un d'autre des fois.

On eut droit à un autre magnifique discours. Non, il était clair qu'il n'aurait jamais balancé de la boue sur la famille royale... Fallait dire que la reine était bien trop mignonne, et le roi... Le Roi c'était le Roi bon sang, il valait mieux fermer sa gueule et éviter de se faire remarquer. Une marque d'affection pour elle? Oui, la boue exprimait vraiment l'affection du suisse pour cette gentille demoiselle... Gentille, bah, n'importe quoi!! Voleuse, oui, et elle perdurerait sans doute dans cet art, tricheuse, moqueuse, traîtresse, une fille qui vend ses infos à qui a la bourse bien pleine. En fait, on ne manquait pas d'adjectif au fond pour la qualifier. Il fallait bien le dire, elle était assez savante dans certains domaines. Il était suisse, alors il était clair qu'il ne serait pas gentleman, pas d'ici là ça c'est sûr. Ils pouvaient toujours crever les gentlemens... C'étaient des bouffons imbus de leurs personnes qui vous tendez la main pour faire signe de vous aider et qui, à la minute où vous aviez le dos tourné n'hésiter pas à vous planter un poignard entre les côtes. Elle pouvait garder son gentleman pour elle. Non, il ne voulait pas en être un.

Oui, il y avait aussi cette partie là qu'elle disait... De quoi? Ah oui... La menace. Lui il l'avait menacée? Non, il l'avait simplement un peu pris au chantage, il jouait avec ce qu'elle savait le mieux faire. Quoi? C'était pas parce que Bontemps s'était pris d'affection pour cette petite garce qu'il devrait plier, hors de question!! Thomas se souvenait assez mal de cette épisode où elle avait été menacée, mais il jurerait qu'elle n'avait pas mis longtemps à tout balancer. Au fond, c'est peut-être ce qu'il devrait faire: Lui foutre de l'eau de force dans le gosier. Cette eau froide dont elle se servait pour nettoyer ses vêtements. Oui, ça pouvait être plus rentable au final, et peut-être que sa langue serait un peu moins assassine et un peu moins vigoureuse sauf pour dire ce qu'elle savait. Bon, il fallait la faire taire. Elle l’énervait déjà assez avec ces gentleman qu'il était à deux doigts de lui coller une bonne gifle histoire qu'elle se calme. Il préféra éviter tout de même d'en arriver là.

Elle aurait dût faire du théâtre, ça c'était sûr, au vu du soupir qu'elle poussa et sa manière de se rendre. Elle allait tout lui dire. Enfin. Il était à deux doigts de s'adosser contre le mur histoire de pas trop se fatiguer à rester debout et plantée au milieu de la rue pour écouter une dégantée. Il réussit à tenir par un heureux miracle. Elle allait enfin parler ce qui n'était pas mauvais pour lui, au plus vite ce serait fait, au mieux ce serait. Il ignora son sourire provocateur et totalement idiot avant qu'elle ne déclare, alors qu'il était en pleine écoute attentive, quelques précisions quand à elle-même.

Elle ne voulait pas figurer comme une aide, elle voulait que l'on précise qu'elle avait tout dit de force. Parce qu'elle croyait que son nom apparaîtrait quelque part? Elle était folle. Jamais il ne marquerais son nom, ça c'était clair et net. Bontemps serait au courant, cela suffirait amplement, mais elle... Non, on n'en ferait mention nulle part. C'était pour retrouver un bandit, c'était pas comme s'il y avait un appel à témoins bordel. Non, elle pouvait se rassurer, en ce sens, toutes ses exigences seraient remplis, ça elle pouvait en être sûr. Elle ne serait pas mentionner, on ferait abstraction d'elle, on arrêterait le coupable, et l'affaire serait bouclée. Bien sûr, cela semblait simple, à première vue, aucun souci, mais le problème, c'est qu'avec cette fille, tout était compliqué. Tout pouvait devenir compliqué. les choses simples devenaient étrangement difficile, et vous mettiez plus de temps que nécessaire pour boucler une petite affaire de routine. Elle fermait jamais son clapet, et elle était vraiment bavarde. Il faudrait lui apprendre un peu à se taire, parce que ça devenait assez chiant là... L'écouter palabrait quand vous étiez pressé... Pouah!! Quelle horreur. Il finit par vouloir ouvrir sa bouche à lui, il n'en eut pas le temps, elle était déjà repartie.

Elle ajouta quelques petites choses qui consistaient en quelques éclaboussures de boues que le suisse prit assez mal mais il préféra la fermer. La vengeance était un plat qui se mange froid. Il essuya la boue qui lui collait au torse à l'aide d'un vieux chiffon qu'il gardait sur lui pour essuyer son épée ou sa propre personne lors de désagrément comme celui-ci. Elle, elle s'essuya sur son bras et il n'eut pas le temps de lui en tirer une qu'elle s'était déjà décollée. Bon sang de bon soir!! Finalement, il rangea son chiffon et laissa le silence s'installer. Elle voulait qu'il répète. Très bien... Mais il allait user d'un autre moyen cette fois. L'argent. Ce métal ouvrait bien des portes, et il déliait pas mal de langue, et celle de Mel était loin de l’exception. Il finit par dire:

- Je comptais te donner trois pièces pour ton aide, mais vue la tournure des événements, je ne sais pas si je vais pas aller voir ailleurs quitte à perdre un peu plus de temps... Tu ne dois pas être la seule à avoir la réponse que je cherche.

Il fit mine de se retourner pour s'en aller, puis, fit mine de se raviser et tourna légèrement la tête en déclarant:

- Mais je consens tout de même à t'accorder une autre chance.

Il sentit rapidement qu'elle allait répondre à ça, parce qu'elle ne pouvait pas la fermer cinq secondes et parce qu'elle avait bien envie de rétorquer au suisse une phrase sans doute cinglante, et il préféra s'épargner tout ça. Il leva brusquement la main et la coupa dans son élan:

- C'est bon! Inutile que tu me répondes je sais ce que tu penses.

Il se baissa un peu pour être à sa taille et tira une pièce de sa bourse qui n'était pleine que de quatre pièces. Il ne prenait jamais son argent sur lui sauf cas exceptionnel. Il finit par montrer la pièce aux yeux de Méléchia. Il déclara finalement:

- Tu me révèles une partie de tes informations, je te donne deux pièces. Si je juge ces informations totalement inutiles, tu peux toujours courir, et je m'en irais donner ces pièces à quelqu'un qui en a plus besoin que toi. Bien sûr, si ces informations me sont agréables, je te donne les deux pièces, et je te donne les deux autres pour le reste des informations. C'est à prendre ou à laisser, et je n'aurais pas d'autres offres.

Il garda donc deux pièces à la vue de Méléchia alors qu'il posait lentement sa question à la jeune fille qui semblait hypnotisé par l'argent qu'elle avait devant les yeux.

- Jean coupe-jarrets. ça te dit quelque chose? Il fit une pause et reprit lentement. Que sais-tu de cet homme?

Il la regarda avec un regard d'aigle, celui qui ne lâche plus sa proie, si ce n'est qu'il attendait quelque chose d'elle. Il finit par dire:

- Choisis bien tes informations... Je n'écouterais qu'une fois. Je sais qui il est... Ce que je veux savoir c'est surtout où il a pu aller.

Il s'arrêta là. La balle était dans son camp, à elle de jouer. Il savait très bien qu'elle pouvait lui mentir, mais elle ne s'y risquerait pas, elle savait que Bontemps la retrouverait et Thomas aussi, et ça risquait d'être assez désagréable bien sûr, donc... Elle serait intelligente pour dire la vérité, ou au moins une partie.
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Une rencontre loin d'être hasardeuse...[PV Melechia Ducatore] EmptySam 28 Nov - 17:46

C’était incroyable ce que la boue ça collait aux doigts. Vraiment. Cette saloperie continuait de colorer sa peau en marron bien moche et puant. Mel envisagea même un court moment de s’essuyer une nouvelle fois sur Thomas. Mais il valait mieux éviter. Un coup était si vite partie. Et vu la taille des mains du suisse et celle du visage de Mel, on devinait assez vite ce qui finirait le plus abimé.

C’était assez terrible cette société brutale où les plus faibles perdaient. Surtout quand on était dans le camp des plus faibles. Mais ainsi en allait le monde. Et Mel en était la victime. Merci de verser une petite larme.

Mais elle ne se laissait as démonter pour autant. Surtout maintenant que les négociations avaient vraiment commencé. Même si excéder son interlocuteur n’était pas la tactique la plus intelligente qui soit. Mais comme ça tenait du tic de langage on ne pouvait pas s’en empêcher. Et puis Mel était intelligente. Donc elle s’abstint de faire des remarques sur la radinerie légendaire des suisses en l’entendant proposer un tarif aussi bas. Mais sérieusement? Il la prenait pour une pute au rabais avec la syphilis ou quoi? Pour aussi peu d’argent elle lui aurait refuser un itinéraire pour Notre Dame. Alors des infos importantes vous pensez….



Mais elle n’avait pas beaucoup le choix. Outre la force physique et légale du suisse qui pouvait ou la tabasser ou la foutre en taule, elle avait besoin d’argent. La fin du mois approchait et elle n’avait pas payé le mois d’août, ni le mois de juillet. La Louison allait donc très certainement la mettre à la porte si elle n’apportait pas un petit quelque chose pour lui faire croire qu’il fallait la garder. 




Elle se permit un petit reniflement dédaigneux et releva le menton avec une moue boudeuse, avant de faire remarquer.


- Je suis pas la seule ! Mais j’ai les meilleures informations, ingannare.



Non mais ! Oh ! Il croyait quoi là? Elle était la meilleure. Point final ! Et c’était un honneur pour lui de travailler avec elle et de subir ses discours. Donc il avait tout intérêt à lui en être reconnaissant, un peu. Et arrêtez de mettre en doute ses immenses talents.


Elle eut une grimace en entendant le nom de Jean coupe-jarrets. Elle le connaissait plutôt pas mal. Pas personnellement, mais on entendait parler de lui un peu partout. Et pas en bien. Ce qui était assez étonnant. On avait des critères moraux assez bas à la cour des miracles. Tant que vous rentriez dans le rang et obéissiez au roi Thunes on ne vous cherchait pas des poux dans la tête. Evidemment il y avait quelque trucs qui ne passaient pas bien. Trop souvent doublé les autres (un peu vous étiez malin, trop vous finissiez condamné à mort par les autres truands), le traffic d’enfant (un mal nécessaire mais c’est pas pour autant qu’on vous offre une bière). Et quelques autres broutilles. Mais sinon le peuple truand était relativement ouvert d’esprit et tolérant. Donc pour que Jean Coupe-Jarrets ait une mauvaise réputation, il fallait vraiment qu’il soit pourri. Et il l’était. La seule raison pour laquelle il était pas mort actuellement c’était que la cour des miracles était un putain de bordel.




Donc, il y avait ceux qui lui en voulait à mort qui étaient mort. Il y avait ceux qui lui en voulait à mort qui tentait de sauver leur peau. Il y avait ceux qui s’étaient allié pour le tuer qui se sautaient à la gorge. La politique intérieur du monde illégale était un peu bouleversé en ce moment. Ce qui lui donnait un sursit. Mais plus pour longtemps.



- Ouais je le connais. Et si tu veux vraiment le retrouver, je te conseille de prendre un truc prends autre chose que le cure-dent qui te sers d’arme. 



Elle passa d’un pieds sur l’autre et tenta de trouver une position qui lui éviter d’être frigorifié par le vent.



- Bon le gros problème de ton client c’est que plein de gens veulent… c’est quoi le mot aristo pour ça…. le tuer salement? Bref on lui en veut. Et si il tombe entre les mains de ces mecs, ça sera beaucoup plus grave pour lui que de tomber entre tes mains. Donc grosso modo il se planque. À mort. Et la moitié de ses planques lui sont interdites… Bon, à mons très humble avis, et c’est l’avis le mieux informé de la capitale. Il va tenter de fuir vers le Havre et les provinces-unis. Et en attendant. je pourrais éventuellement te citer, deux planques, une auberge et un bordel potentiel. Est ce que je mérite ton argent?




Elle était pas débile. Elle voulait un peu plus qu’une promesse d’argent. Donc avant qu’elle ne lâche les noms, il avait intérêt à lui montrer un peu de fric. Histoire qu’elle soit sûre que ça en vaille la peine.




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Titre/Métier : furet, fléau humain
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