Olympe Mancini, vanité des vanités, tout est vanité.
Mar 26 Aoû - 20:23
Olympe Mancini
Métier/Titre(s) : Comtesse de Soissons, Surintendante de la maison de la Reine. Âge : 28 ans Origines : italienne Langue(s) parlée(s) et niveau de maîtrise : Parfait italien - Excellent français -Bon latin Orientation sexuelle : Hétérosexuelle Situation: Mariée, mère de 6 enfants Date de naissance : 11 juillet 1637 Religion: Catholique Groupe : Noblesse Personnage ayant existé?: Oui Avatar : Milla Jovovich
Le Miroir ...
Une ombre s'avance à la Cour, une ombre de haute stature, décidée et imposante. Olympe n'est pas de ces femmes qui passent inaperçu et elle joue de son image comme les miroirs défient notre reflet.
Toujours apprêtée avec soin, la dame n'aura jamais un cheveu de travers, un tissu froissé ou une boucle tournée. Elle soigne sa tenue vestimentaire, assortissant à chaque occasion ses robes, accessoires et bijoux sans jamais faire de faute de goût. Olympe a une nouvelle tenue chaque jour et elle tient à cette coquetterie. Si les lunes et les soleils se suivent, ils ne doivent en rien se ressembler et chaque matin a droit à son lot de nouveaux rayons. Offenser le soleil en lui présentant une tenue de la veille serait de mauvaise augure et s'il y avait bien une chose que la Mancini voulait éblouir c'était bien l'astre en personne.
La beauté de la dame n'avait rien à envier à ses toilettes. Si elle était loin d'être parfaite, elle savait qu'elle était aussi loin d'être moche et que son caractère savait à merveille rehausser ses charmes. Derrière une cascade d'anglaises claires se cachaient deux grands yeux bleus emplis d'expressions différentes. La vie se lisait dans son regard, trahissant trop souvent ses émotions mais pétillants d'intelligence. Un doux parfum, frais et délicat qu'on lui livrait mensuellement d'Italie pimentait davantage l'allure et la prestance de la dame de cour... Mais déjà, elle n'était plus la jeune femme qu'elle avait été.
Les années et ses multiples grossesses avaient élargi ses hanches sans toutefois rendre disgracieuse sa silhouette. Les rondeurs étaient alors les douceurs des artistes et Olympe aimait à leur servir de muse. Chaque étape de la vie avait ses contraintes mais la dame aimait les tourner à son avantage. Pour elle, une femme n'est fanée que lorsqu'elle l'a décidé.
L'ombre d'Olympe s'éloigne alors, avec son rire clair et les quelques courtisanes qui l'accompagnent ce jour. Derrière elle, elle laissera son parfum et vous le sentirez longtemps.
... n'est pas le reflet de l'âme
Olympe est loin d'être un personnage sympathique, elle n'est pas non plus celle qui acceptera de vous prendre sous son aile ou celle qui vous fera des cadeaux... A moins que vous soyez doté d'un esprit qui saura éveiller sa curiosité et surtout son intérêt.
En effet, si vous n'êtes ni puissant, ni intelligent, il n'est nullement besoin d'attirer son attention au risque d'être l'objet des railleries les plus cinglantes. La dame ne mâche pas ses mots et a la faculté de tirer sur les cordes sensibles. Ne vous attendez cependant pas à ce qu'elle vous attaque sans raison, si la bave de la Mancini est acide, elle ne coule qu'en cas de nécessité.
Les soirées à la Cour sont pour Olympe les moments les plus importants de la journée. Elle aime jouer plus que de raison et n'hésite pas à lancer les dés à la place d'un courtisan, prétextant porter chance et préférant jouer l'argent d'autrui plutôt que le sien. Néanmoins quand cela lui arrive elle perd rarement, ce qui lui vaut d'être traitée de tricheuse par quelques jaloux qui n'auraient pas forcément tort.
L'esprit et l'humour font partie du quotidien d'Olympe, il ne se passe pas une heure à la Cour sans que ses rires fusent en échos contre les murs. Elle s'amuse de tout et de tout le monde, d'ailleurs personne ne sait mieux qu'elle qu'on peut rire de tout mais pas avec tout le monde. Cependant, sa façade légère et amusée cache un plus sombre portrait.
La dame n'est qu'une vile manipulatrice qui vous fréquentera seulement par intérêt. Si elle vous approche, ce n'est pas seulement pour le plaisir de votre compagnie, mais aussi pour ce qu'elle pourrait en tirer. Gare cependant à ne pas la trahir, elle ne pardonne jamais à ceux l'empêchant de réaliser ses desseins... Jamais... Et pour ceux-là elle n'a qu'un seul souhait: la destruction.
Dernière édition par Olympe Mancini le Mar 26 Aoû - 20:36, édité 1 fois
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Mar 26 Aoû - 20:32
On naît tous un jour ...
11 juillet 1637, Rome. Un cri de nouveau né s'éleva dans les airs, mais ne fut nullement suivi d'acclamations positives car le nouveau né en question était de sexe féminin. Olympe fut son nom, celui du domaine des Dieux, comme pour prouver que la demoiselle aurait de la hauteur quoi qu'il arrive. Le Baron Michele Mancini aurait tout aussi bien pu la nommer Victoire, Primia ou Estrella... Oui, il aurait pu, mais Olympe lui paraissait bien plus divin.
C'est d'ailleurs divinement qu'il voulait élever sa fille, ne permettant aucun écart de sa part mais flattant son ego dès son plus jeune âge. Très vite, Olympe se dota d'un orgueil et d'une assurance désarmantes qui ne devraient plus jamais la quitter tout au long de sa vie.
A dix ans, elle rêvait déjà de grandeurs, de richesses, d'honneur et de reconnaissance. Dans les rues de Rome, elle se moquait des fillettes aux toilettes dépareillées et se vantait d'avoir de meilleurs goûts vestimentaires que le commun des mortels. Elle ne jouait pas avec les autres filles, elle évitait toujours de se salir et regardait d'un air dédaigneux les jeunes femmes nobles qui préféraient les pelouses aux salons. Si l'herbe était douce au toucher, elle n'en était pas moins salissante et Olympe préférait de loin la soyeuse chevelure d'une poupée de porcelaine.
C'est à cette époque que son oncle le cardinal Mazarin décida de la faire entrer en France, à Paris plus précisément où elle put pour la première fois apprendre le français et l'étiquette la plus rigoureuse. La demoiselle sortait peu, toujours en compagnie de sa chaperonne et ne remarquait pas les regards qui se faisaient de plus en plus insistants sur sa personne au fil des années. Olympe ne pensait pas aux hommes, elle n'était pas dotée d'une beauté désarmante et ne s'intéressait alors qu'à ses toilettes. "Du bleu dites-vous ? Et vous voulez mettre avec cette toilette une parure de rubis ? Mais enfin madame... Vous n'y pensez pas ? Quelle faute de goût..."
La réalité rattrapa bientôt l'insouciance de la jeune femme et la Fronde ne tarda pas à gronder. Olympe, accompagnée de sa fratrie, retourna en Italie et ce fut pour elle un déchirement. Furieuse de devoir retourner dans un pays qu'elle n'affectionnait guère elle ressentit pour la première fois la colère et la rancœur. Chaque jour elle n'avait de cesse de répéter la même chose: "Je retournerai en France, quoi qu'il m'en coûte et je serai là-bas l'une des femmes les plus respectées de tous les royaumes."
Si au début ses sœur riaient de sa volonté, les railleries furent de courte durée.
La Fronde tomba et Paris soutint nouveau la monarchie. Triomphant et fier, le cardinal Mazarin clamait à qui voulait l'entendre qu'il était le sauveur de la France et il ne tarda pas à rappeler ses nièces auprès de lui. Fière de servir d'apparat au sauveur de la monarchie, Olympe s'empressa de s'afficher la cour sans manquer de faire connaître son nom. Enorgueillie par la victoire familiale à laquelle elle n'avait aucunement participé la jeune femme multipliait les apparitions... Mais aussi les rencontres avec Sa Majesté Louis le Quatorzième. Élégante mais nullement magnifique, la fille du baron comprit bien vite qu'il lui faudrait avoir de l'esprit et de la répartie pour attirer son attention. Elle ne manqua d'ailleurs pas d'en user à son encontre et bientôt cela alla en sa faveur.
La jeune Olympe connut alors ses heures de gloire, plaisant non seulement à Sa Majesté mais aussi à sa mère Anne d'Autriche. Son surnom "La perle des précieuses" n'eut de cesse de l'enorgueillir davantage et elle se voyait déjà Reine de France, la plus puissante parmi les puissantes et maîtresse des volontés de son amant. Pour elle, Louis multipliait les fêtes, les danses et à la Cour chacun murmurait que "les plaisirs n'étaient fait que pour elle". Sur toutes les lèvres, derrière chaque éventail et sous chaque kiosque un nom revenait toujours "mademoiselle Mancini." Qui d'autre qu'elle pourrait devenir Reine de France ? Elle était la nièce du cardinal Mazarin, grand sauveur de la Monarchie et elle assurait une alliance avec Rome. Personne ne doutait plus de l’ascension d'Olympe... Et pourtant.
Les rumeurs ne tardèrent pas à arriver aux oreilles de la reine mère qui s'en inquiéta et y mit un terme au plus vite. Pour elle, une Reine devait être pieuse, peu encline aux plaisirs de la vie et de la cour et surtout discrète. Une jeune femme trop intelligente et expressive attirait bien vite les regards et il ne faudrait pas que par mégarde son petit fils ne soit qu'un bâtard sur le trône de France. La nouvelle fit l'effet d'une bombe et Olympe dut non seulement renoncer à sa gloire perdue mais aussi accepter un mariage qui ne l'enchantait guère. Dès que sa main fut promise, Louis se détourna d'elle et depuis ce temps la jeune femme considéra que le souverain était sien et que d'une manière ou d'une autre il lui reviendrait.
Eugène-Maurice de Savoie-Carignan, comte de Soissons était un homme gentil, trop sans doute, qui n'avait jamais éveillé l'intérêt de la Mancini. Ils se marièrent pourtant en février 1657 mais si la dame n'oublia jamais ce jour ce n'était pas pour les noces... Mais pour le froid qui l'avait mordue tout au long de la cérémonie. Olympe sut alors que la flamme de l'espoir et de la grandeur s'était éteinte en elle mais qu'elle laisserait dans son passage une traînée amère qui ne la quitterai jamais plus. L'insouciance de sa jeunesse perdue était morte, elle avait espéré grandir autrement mais elle n'avait d'autre choix que de s'incliner... Du moins en apparence.
Une femme ne devient jamais acerbe par hasard, on la pousse toujours à faire pousser ses épines. La Mancini n'était pas au bout de ses surprises et ce qu'elle découvrit peu après ses noces forgea davantage encore son esprit déjà acide.
Les rumeurs allaient bon train à la cour, traduisant une liaison entre Sa Majesté et Marie Mancini, sa propre sœur. Certes, cette dernière était bien plus belle qu'elle mais son esprit était si étroit qu'il lui était impossible de faire une phrase comprenant plus de cinq mots. Olympe se sentit insultée par cet amour et rageait de voir les regards que Son Roi lançait à sa propre sœur. Ainsi donc, cette écervelée passait après elle sans même lui en toucher le moindre mot ? Elle osait la défier en public devant toute la cour ? Elle osait affirmer à chacun que Sa Majesté n'avait jamais tant aimé ? Serrant les dents mais feignant l'indifférence la blonde étouffait sa rage tant que possible et évitait de se trouver en face de ce couple qu'elle ne savait concevoir. Ne sachant pas comment les séparer, elle dut une fois de plus se résigner et souffrir en silence, masquant sa tristesse sous un masque narquois.
Le temps joua néanmoins en sa faveur, le Roi Louis ne tarda pas à se marier avec l'infante d'Espagne et il poussa Marie hors de la cour, pour ne pas offenser sa nouvelle reine et empoisonner son environnement avec sa maîtresse dont il n'avait plus l'utilité. Chassée, humiliée, Marie tenta de trouver refuge chez Olympe... En vain. La réponse fut des plus cinglantes. "Pourquoi devrais-je vous suivre dans votre exil, alors que je ne suis pas, moi, en disgrâce ? Affinez donc votre esprit, ma sœur, vous voyez bien que déjà votre visage se fane ! Qui voudrait d'une vieille imbécile ?"
Pour la première fois, la Mancini connut le plaisir de la vengeance et de la victoire. Elle pouvait supporter bien des choses, mais elle se promit de toujours faire tourner la roue en sa faveur... Qu'importe le prix à payer.
Le temps passait, les maternités se succédaient et les alliances se nouaient. Quelques beaux esprits avaient fait à la cour leur apparition, parmi eux Henriette d'Angleterre avec qui Olympe entretint très vite des relations amicales, bien que Madame soit une maîtresse royale. La Mancini s'était assagie et avait transformé sa haine en humour, faisant de l'esprit pour contourner et exprimer ses affects. Cela lui valut bien des sympathies, parfois des larmes mais surtout beaucoup de rires. L'alliance entre les deux femmes dépassait l'entendement, leurs jeux étaient parfois dangereux... Et leurs jeux poussèrent à faire diversion sur les ébats de Sa Majesté et de sa belle sœur en mettant au milieu une femme trop vite jugée sans intérêt: Louise de la Vallière.
Cependant, Sa Majesté ne tarda pas à délaisser Madame pour La Vallière qui rappelait Marie à Olympe. Était-ce pour cette raison ou par simple envie de s'amuser qu'elle s'allia à Henriette pour la faire tomber ? Elle-même ne le sut jamais mais le scandale de la nouvelle favorite ne tarda pas à tomber dans l'oreille d'Anne d'Autriche par ses propres soins et découvrant la vérité Louis décida de ne plus accorder sa confiance à Olympe. Mais que pensait-il donc, ce Roi ? Que l'on pouvait se moquer des dames sans jamais avoir de retour ? Si l'italienne espérait encore un retour de ses faveurs c'était avec moins d'entrain et d'amour qu'avant... Mais avec plus de force et de raison.
Le temps vient d'avoir raison d'Anne d'Autriche et du Cardinal Mazarin, les vieux pions tombent sur l'échiquier... Mais est-ce que cela suffira à changer le jeu de la Cour ?
Dernière édition par Olympe Mancini le Mer 27 Aoû - 19:39, édité 3 fois
Invité
Invité
Mar 26 Aoû - 20:33
Ôtez le masque !
Prénom (Pseudo) : Léa † Âge : 26 ans † Comment êtes-vous arrivé jusqu'ici ? Sur un forum de référencement, ne me demandez pas lequel je ne m'en souviens déjà plus XD † comment trouvez-vous le forum ? Bien je suppose... Non ? M'enfin je crois, sinon je n'yaurai jamais posé de fiche ! † Le code du règlement : OK by Monsieur † Une citation/ phrase à mettre sous le vava (qu'on mette avec l'image de votre groupe ) Vanité des Vanités, tout est Vanité. † Un dernier mot ? BANZAI ! (référence au Groland)
test rp, un minimum de 300 mots est demandé:
Petit, trop petit, étouffant même... Les appartements de la Mancini et la ville de Paris n'avaient de cesse de l'étouffer... Surtout au solstice d'été, temps où la campagne est bien plus agréable que la cité. Pourquoi donc se terrait-elle dans une cage à oiseau quand elle pouvait profiter du château de son époux ? Hé bien... Sans doute pour cette recherche de gloire et de reconnaissance pour laquelle elle avait été élevée. Pour réaliser des miracles, il fallait faire des sacrifices et plus ces derniers étaient lourds, plus grosse était la récompense... Ou du moins c'est ce qu'elle pensait.
Une jeune femme de bonne naissance parisienne était venue la divertir, jouant du clavecin de manière peu appliquée. Debout devant sa fenêtre, dents serrées, Olympe se demandait combien de temps encore durerait ce supplice infligé à ses oreilles. Il n'y avait que son époux pour avoir d'aussi sottes idées, comme si des vierges maladroites étaient en mesure la faire sourire... De la faire rire à la rigueur et encore, ce ne seraient que des rires sarcastiques.
-Mademoiselle...
La blonde finit par se tourner vers la demoiselle, c'en était assez et elle jugeait que sa patience avait été plus que suffisante.
-Si d'aventure vous êtes à nouveau invitée dans mes appartements, je vous prierai de nouer votre corset correctement, il baille sur le devant. Ne vous a-t-on donc jamais appris que les coquetteries sont faites pour les femmes et non les enfants ?
Les hostilités étaient lancées... Ah ! la gourgandine ! C'était elle qui avait commencé avec sa figure idiote et sa symphonie catastrophique juste bonne à infliger les pires migraines !
-De même, vous pensez que les nœuds jaunes que vous avez dans les cheveux s'accordent avec le pourpre de votre toilette ? Mais qui donc est votre tailleur ? Non, en fait je crois que je ne préfère ne pas le savoir. Vaquez donc à vos occupations mademoiselle et veillez à soigner votre tenue... Ainsi que votre solfège.
La jeune fille disposa, yeux baissés, camouflant le mieux possible les larmes qui les baignait. Satisfaite, la Mancini s'éventa et trouva que l'atmosphère était subitement devenue bien plus respirable.
-Claire, faites en sorte qu'elle ne revienne pas, si elle a besoin d'argent faites lui-en parvenir... Mais de grâce, que ce don serve à la faire disparaître indéfiniment de ma vue.
La domestique inclina la tête et disparut à son tour. Olympe s'assit à son secrétaire et signa un billet adressé à son époux.
"S'il vous plait de recevoir des demoiselles sans forme encore, sachez que leur ignorance est une denrée qui ne m'amuse guère. Faites moi parvenir des rats à atteler ou des perroquets capables de répéter les pires infamies, leurs tours m'enchanteront davantage que les ronds de jambe des pires boiteuses."
Laissant le pli bien en évidence la jeune femme enfila sa capeline. Une promenade dans les jardins s'imposait.
Dernière édition par Olympe Mancini le Mer 27 Aoû - 18:04, édité 2 fois
Invité
Invité
Mar 26 Aoû - 21:25
Bienvenue !!! j'aime beaucoup ta plume et le personnage, hum, fascinant
Trouve le code qu'on puisse se croiser ! *sort*
Invité
Invité
Mer 27 Aoû - 0:03
*Arrive avec un labrador*
Encore bienvenue!!!!!!
Voila une charmante langue de vipère qui nous arrive! Je sens qu'on va bien s'amuser à vous lire
Sinon j'ai un cadeau pour vous. Un labrador!!!!
*Offre le chien d'aveugle*
Louis-Victor de Mortemart
Ex Scientia Tridens
Titre/Métier : Duc de Vivonne, Premier Gentilhomme Billets envoyés : 787 Situation : Marié à Antoinette, 5 enfants légitimes
Mer 27 Aoû - 11:02
Bienvenue avec ce perso qui promet sur Vex ! C'est chouette quand il y a plein de méchants qui viennent ici Bonne continuation pour la fin de ta fiche
Invité
Invité
Mer 27 Aoû - 12:31
Bienvenue ^^
On a ENFIN une Olympe ^^. j'peux pas te tenir comment j'suis heureuse ^^
Bienvenue Olympe ! Je ne peux lever deux pouces approbatifs face à ce choix de perso
On va pouvoir s'entretuer s'amuser
Invité
Invité
Mer 27 Aoû - 14:00
Hello et bienvenu!
Invité
Invité
Mer 27 Aoû - 14:24
Bienvenue Olympe ! Une superbe fiche, tu sembles avoir très bien cerné le personnage, et je suis impatiente de voir ce test RP.
(Ahf' ! Courage pour la pêche au code... Moi aussi j'ai eu bien du mal à le retrouver. xD)
Gabrielle de Thianges
~•Ventis •Immota•Superbit•~
Titre/Métier : Marquise de Thianges, comtesse de Chalancey Billets envoyés : 404 Situation : Mariée, mère de trois filles et d'un petit garçon...
Mer 27 Aoû - 14:25
Pourquoi ça ne m'étonnes pas?
Louis-Victor de Mortemart
Ex Scientia Tridens
Titre/Métier : Duc de Vivonne, Premier Gentilhomme Billets envoyés : 787 Situation : Marié à Antoinette, 5 enfants légitimes
Mer 27 Aoû - 14:44
Louis-Victor de Mortemart a écrit:
Pourquoi ça ne m'étonnes pas?
Allez plutôt me chercher un verre de liqueur et quelques mignardises mon frère, et puisque vous semblez vous ennuyer *une chose détestable* ... Vous prendrez le soin de m'éventer et de me faire la lecture ensuite.
Gabrielle de Thianges
~•Ventis •Immota•Superbit•~
Titre/Métier : Marquise de Thianges, comtesse de Chalancey Billets envoyés : 404 Situation : Mariée, mère de trois filles et d'un petit garçon...
Mer 27 Aoû - 14:47
Bien ma sœur!
*Se dépêche d'aller chercher lecture, épouvantail, mignardises et la bouteille de liqueur avec un verre*
Louis-Victor de Mortemart
Ex Scientia Tridens
Titre/Métier : Duc de Vivonne, Premier Gentilhomme Billets envoyés : 787 Situation : Marié à Antoinette, 5 enfants légitimes
Mer 27 Aoû - 17:53
Bienvenue! Quel charmant personnage... J'ai hâte de la voir en rp! (Oh, et bon courage pour le code, je suis sûre que tu finiras par le trouver! )
(Gabrielle et Vivonne... )
Invité
Invité
Mer 27 Aoû - 17:59
Bienvenue Olympe !! Amuse-toi bien sur Vex !
Invité
Invité
Mer 27 Aoû - 18:19
Merci à tous pour votre accueil !
Ma fiche est terminée, code pas trouvé... Mais j'abdique, je ne le cherche plus (notez que ça m'a vraiment rendue dingue )
Invité
Invité
Mer 27 Aoû - 19:28
Hellooooo bienviendue chez nous
Une langue de vipère pour persifler avec moi et Lorraine :siffle:
J'espère que tu te plairas chez nous ^^ Jolie fichette en tout cas je vois juste deux petites choses (rien de grave du pinaillage simplement :3) Pour la demande en mariage, elle n'a jamais été formulée, Anne d'Autriche et Mazarin ont agi avant de devoir être confronté à une telle demande, du coup il n'y a pas eu de demande comme tu l'as écrit ^^ Enfin tu as écrit que Marie-Thérèse d'Autriche était morte, mais il s'agit d'Anne (je sais le d'Autriche est légèrement perturbant ^^).
Voilà pour ce qui est du code du règlement, j'avoue avoir du mal à comprendre comment tu n'as pas pu le trouver après tant de lecture. Tu as du sauter des lignes, ou lire en diagonale, ça se repère assez facilement, des phrases sans rapport avec ce qu'il y avait avant
Voili voilou, ces choses là corrigées et le code ajouté je serai ravi de te valider
Monsieur
Titre/Métier : Fils de France, Frère unique du Roi, Duc d'Orléans Billets envoyés : 4140 Situation : Marié à Henriette d'Angleterre
Mer 27 Aoû - 19:43
J'ai corrigé les erreurs, mais le code je ne l'aurai pas eu de moi-même.
Je peux comprendre votre suspicion, mais en même temps il était bien trop dur à trouver pour moi (mouhaha, esprit simple que voulez-vous !)
Mais si vous y tenez: "Fais tu partie du complot ?"
... Même en l'ayant je ne le trouve pas
Invité
Invité
Jeu 28 Aoû - 10:46
Bienvenue à toi!!! tu écris super bien, j'adore! Et je suis fan de ton ava, il est sublime
Invité
Invité
Jeu 28 Aoû - 15:14
Je viens de lire le rp... Ah ce qu'elle est cool!
Un gros bravo et bienvenue!
Invité
Invité
Jeu 28 Aoû - 22:04
TU ES VALIDE(E)
Après tant de déboire et de code fuyant voilà enfin ta validation.